Philosophie : le réel

Comment admettre que nous avons une connaissance du monde, tout en admettant que les sensations ne nous permettent pas d’avoir une vérité théorique sur le réel        

Expérience (adj : de l’ordre de l’expérience) : empirique

Etude d’un texte de Platon :

Il est considéré comme le premier philosophe, il a été l’élève de Socrate. Platon a écrit des dialogues philosophiques qui dramatises des problèmes, il met en scènes le mettre de Platon : Socrates

Il critique des opinions des sophistes. Le sophiste que critique Socrates est Protagoras. Le dialogue étudié porte sur les sciences

1. La science n’est autre que la sensation tes est la thèse de Protagoras, il soutient que sentir et savoir ne sont qu’une seule et même chose car en effet avoir une sensation c’est savoir se que l’on sent. L’homme est la mesure de toute chose. Protagoras justifie cette position en disant que l’homme est la mesure de toute chose, ça veut dire que l’homme donne la mesure permettant de connaitre, a la fois l’unité de mesure et le référentiel. L’unité de mesure se sont nos sens et le référentiel c’est l’homme qui sent. Comme l’homme n’a pas d’autre manière de connaitre et donc de mesurer ce qui l’entoure on peut affirmer que la seule science possible est la sensation. Protagoras va même plus loin en disant que la sensation est la condition de l’existence des choses. C’est ce que l’on appelle le sensualisme, la doctrine ou l’on ne peut que connaitre par la sensation laquelle correspond à ce qui est réel

La sensation est relative à l’homme au sens où elle dépend de l’homme qui sens. Absolu signifie qui ne dépend de rien dans l’existence, dans la connaissance. (Ex : louis XIV)

Du point de vue de Platon c’est précisément la relativité de nos sensations qui rend impossible que c’est dernier soit le critère d’une science vrai, en effet il n’est pas possible par la sensation d’identifier un seul et même objet avec des caractéristique stable.

Celons la critique de Platon le sensualisme ne pas être soutenu pck il conduit au relativisme

Le relativisme et la doctrine celons laquelle plusieurs vérité son possible pour un seul et même objet. Si la vérité de la connaissance correspond à la sensation relative à chaque individu alors soit il y aura plusieurs vérités pour un seul et même objet soit ce que perçoivent les individus au même instant correspondra à plusieurs objets. C’est la conception celons la quelle c’est à chacun ca vérité or cela est contradictoire et ne permet pas d’identifier un objet de manière universelle

Cela conduit même au scepticisme c’est-à-dire a la doctrine celons la quelle l’on ne peut pas soutenir de vérité de sorte il faut continuer à douter de tout. La phrases du sceptique est : « il n’est pas plus vraie de dire une chose qu’il n’est vrai de dire son contraire

La position de Protagoras repose sur une idée commune de l’antiquité certains ont pu soutenir que comme le monde dans le quelle on vie se transforme en permanences il n’est pas possible de soutenir de positions définitives cela correspond à la position d’Héraclite « on ne se baigne deux fois dans le même fleuve »

Le fait que tout se transforme en permanence les grecs appelaient ça « Le devenir »

Si on ne peut pas faire de sciences c’est dire obtenir une vérité définitive sur ce qui est en devenir, pur Platon il faut prendre l’être pour objet, ce qui est stable et permanent

Pour Platon il y a une négligence de la science c’est-à-dire que connaitre un objet c’est pouvoir en donne une définition unique  

Une définition : on recherche l’essence d’une chose pour la connaitre. C’est à dire ce qui fait qu’une chose est se quelle est

L’essence est ce qui identifie et distingue quelque chose de l’ensemble d’autre objet

Si l’on admet que le réel correspond au monde qi nous apparait alors tout jugement que l’on formulera à son propos sera relatif et portera sur des objets changeants, se jugement sera contingent et particulier, il ne correspond pas au caractéristique universelle et nécessaire

Si ce qui nous apparait était le réel il ne serait pas possible de faire la distinction entre ce qui est vrmt réel et ce qui semble l’être, l’objet de nos sensations ne peut donc pas être le réel

Il faut donc se poser la question pour savoir ou chercher pour obtenir la vérité sur le réel, si ce n’est pas dans le monde qui nous entour

Point de vocabulaire

Identité

Def allégorie : une suite d’élément narratif qui corresponde chacun a une idée qu’il s’exprime.

Le problème au quelle l’allégorie de la caverne répond est celui de la connaissance pour l’homme qui d’un coté ne serait obtenir de connaissances sur le réel par les sens mais qui de l’autre coté ne connais spontanées rien d’autre que la sensation. Les prisonniers de la caverne sont prisonniers de l’illusion des sens. Les ombres qu’il voit se donne comme vrai et réel alors qu’il ne s’agit que d’artefacts qui se projeté dans une salle obscure

Celons l’allégorie pour connaitre l’homme devra sortir de la caverne des ombres pour observer le monde réel et le soleil. Le soleil est un symbole classique de la connaissance mais il s’agit encore de savoir de qui il s’agit

Une chose est sur cette extérieur de la caverne ne peut pas correspondent aux sensations.

En quoi les prisonniers se trompe-t-il ?

Illusion : se qui se donne comme vrai alors que c’est faux

Ils sont dans l’illusion ils prennent ce qui leur apparait c’est-à-dire les ombres pour le réel

Les prisonniers sont enchainés comme nous autres sommes enchainer par nos sens qui nous trompe et donc il est bien difficile de sortir.

Si il est difficile de sortir de cette prison des sens c’est pck cela correspond a une habitude de penser qui est toujours une certaines formes de confort

L’opinion est un jugement non vérifié, qui est l’objet de la croyance

On parle des opinions des sens dans l’allégorie de la caverne mais on parle également d’opinion politique. Ici l’on n’est pas trompé par la relativité des sens mais par l’illusion que produise les sophistes

...