La Philosophie De La Lumière Chez Dante - Resumé
Compte Rendu : La Philosophie De La Lumière Chez Dante - Resumé. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 18 Mars 2012 • 1 037 Mots (5 Pages) • 2 155 Vues
D.Ottaviani, La philosophie de la lumière chez Dante, Champion 2004
106 – Bonaventure : lumière comme forme substantielle
« Lux, proprie et abstracte loquendo, non est corpus sed forma
corporis »
Tout corps peut être dit d'une certaine manière lumineux, et la
lumière est ce qui permet son extension ds l'espace
lux → pure capacité d'automultiplication (lumière non visible)
lumen → lumière qui illumine le transparent et devient ainsi visible
splendor, color → la lumière réfléchie par un corps qui devient ainsi visible et lumineux
107 – Thomas : lumière simple qualité des corps lumineux, utilisée de manière
métaphorique en théologie
vs. Métaphysique de la lumière, qui conduit à une mauvaise interpr des
choses terrestres et célestes (vs. Bonaventure)
Et Dante, Cv III, xiv, 5 « l'usanza de' filosofi è di chiamare « luce » lo lume in quanto esso
è n suo fontale principio ; di chiamare « raggio », in quanto esso è per lo
mezzo... di chiamare « splendore », in quanto esso è in altra parte alluminata
ripercosso ».
Ottaviani : Comédie, métaphysique de la lumière ; Convivio, pas encore
Ds la Comédie, cependant, la référence à une lumière intellectuelle n'est pas équivoque : Par XXX, 38-40
→ l'Empyrée est le choeur de la probl ématique de la lumière
(en Conv. D. le considérait encore comme un ciel corporel, donc : lumière =
qualité d'un corps, comme chez Thomas)
changt de solution du problème des taches lunaires
125 - à partir du moment où il apparaît que les lois de la propagation lumineuse sont identiques au niveau supralunaire et sublunaire, la connaissance de la science phys permet de tendre vers la métaph
D cherche à s'appuyer sur une connaissance minimale de la perspective pour mettre en place une analogie structurelle entre les deux dimensions, physique et métaphysique.
127 : pour les penseurs qui défendent l'idée d'une métaph de la lumière, il fallait différencier la lumière ds son surgissement originaire, comme pure source et cause de tout ce qui est (lux), de la lumière ds son extension physique et visible (lumen) du rayonnement lumineux en tt que tel (splendor)
mais : il ne peut y avoir de signification univoque
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