Par-delà le bien et le mal, fiche
Fiche : Par-delà le bien et le mal, fiche. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar zbrehhhhh • 20 Juin 2019 • Fiche • 1 688 Mots (7 Pages) • 748 Vues
Aristote, de l’âme III voire I, MM, préface + I,II, VI. Paralogismes, dialectique transcendantale de la CRP
Hegel, 350 à 412
Partie un et trois chez N, par 257
Par dela le bien et le mal, « des préjugés des philosophes »
Faire lever le jour de la bataille décisive. Philo imbue de préjugés moraux plébéiens et chrétiens. Derrière les principes métaphysiques, préjugés moraux, intérêt sournois. Tout est démocratique dans le savoir, spécialisé et horizontal, règne de la masse. Discrédit au nom de la morale sur les forts, les sans scrupules. Nouvelle aristocratie à repenser.
Préface : domgatisme philosophique = noble enfantillage/ superstition populaire desquels naissent les systèmes et les dogmes, généralisations de fait trop humains.
Plus pernicieuse invention = faiseurs de systèmes, comme le platonisme/ le christianisme est un platonisme à l’usage du peuple
1 - Problématique volonté du vrai, qui semble toujours ne faire que commencer. Pourquoi voulons-nous le vrai ? et pas le non-vrai ou l’incertitude. Il ne faut pas y aller car mène à un pb fondamental.
2- Comment de l’erreur peut naître du vrai, dans ce cas-là ? « c’est au cœur de l’être , dans l’impérissable, dans un dieu caché, dans « la chose en soi » que doit se trouver leur principe, là et non ailleurs. ». Croyance avec laquelle les métaphysiciens essaient d’établir un savoir, que l’on dira ensuite « vérité ». Croient en l’antinomie des valeurs ( ?). remise en question de cela, il voit surgir des philosophes nouveaux.
3- remise en question de l’homme « mesure de toute chose » au regard de la dimension instinctive de tout philosophe, qui croit pourtant au déterminé partout.
4- enclins par principe à considérer les jugements les plus faux (synthétiques a priori) comme les plus indispensables. Qu’il nous faut ramener la réalité à un monde purement imaginaire, de l’inconditionné et de l’identique// si on fait pas ça, on nie la vie. L’audace par delà le bien et le mal = philosophie qui admet le non vrai.
5- cet enfantillage provient comme ils le disent, d’une dialectique froide alors que c’est une intuition « la tartuferie raide et vertueuse avec laquelle le vieux Kant nous attire dans les sentiers tortueux de sa dialectique » vers l’impératif catégorique. Timidité et vulnérabilité.
6- germe de toute philosophie = la morale. Ce gout de la connaissance est en fait soumis à une autre propension, et tout discours métaphysique tend à aboutir vers quelque chose, une fin morale. Hiérarche morale qui préside en tout philosophe.
8- importance de la conviction des philosophes « adventavit assinus / pulcher et fortissimus » L’ane est arrivé / fort et vigoureux.
9- on ne peut vivre « en conformité avec la nature », sans pitié ni bassesse, fécond et stérile, nature muée en puissance. Ce qu’il y a derrière ce mot stoïcien, c’est l’idée de conforter celle-ci à la morale du portique, ramener tout à leur semblance. Volonté de puissance dans son sens intellectuel, volonté d’instaurer la causa prima, désir créateur envers le monde/
11- orgueil de Kant envers une découverte dans l’homme, celle de la table des catégories, faculté d’établir des jugements synthétiques a priori. Prouvé en vertu d’une faculté, qui est établie après des fioritures et détours allemands. L’opium fait dormir en vertu d’une faculté, la virtus dormitiva ; même problème qui établit la faculté des jugements synthétiques a priori chez les parangons de vertu,…
12- Triomphe de Copernic qui montre que la terre tourne et Boscovich qui réfute l’atome sur les sens. A cela il faut combattre l’atomisme psychique qui croit en une idée de l’âme une, indivisible, un atomon. Non pas la tuer mais en envisager d’autres hypothèses : « l’âme mulitple » « l’âme, édifice collectif des instincts et des passions. »
13- la vie n’est pas conservation, mais volonté de puissance, donner libre cours à sa force. La conservation en est alors une csq indirecte. Refus des principes.
14- La physique use des données des sens, en ce cas, interprétation et adaptation de l’univers. Use du sensualisme toujours populaire. Dimension grossière et qui se refuse à une aristocratie de ceux qui dépassent cela. Refus du « où l’homme ne peut plus rien voir ni saisir, il n’y a plus rien à chercher », refus du grossier.
16-dimensions irréductibles, choses en soi à laquelle on accède de manière pure et nue « je pense » « je veux ». Quand on se dit cette proposition, de nombreuses autres interrogations s’interfèrent. Comparer cet état avec d’autres états observés en soi. Le métaphysicien est condamné à l’incertitude envers la vérit& face à l’amoncellement de proposition qu’une seule peut entrainer.
17- ce sont les pensées qui viennent à nous, et non pas le « je » qui les appelle : ça pense en moi, le « je » n’est pas le sujet, ni un « quelque chose », comme la grammaire peut le montrer : ce sont des restes d’un atomisme que le moi a laissé.
18- les théories gardent leur charme en ce qu’elles sont réfutables (le libre-arbitre par exemple).
19- La volonté, Schopenhauer la regarde comme qlq chose qui nous est clair, mais il prend la un préjugé populaire. Le vouloir est multiple et n’a d’unité que dans son nom, implique l’état dans lequel on est, celui vers lequel on se tend, des inflexions du corps avec cela, tout comme le sentir, ou le penser. Vouloir c’est commander en soi à quelque chose, ou quelqu’un qui obéit. Mais par l’effet du moi, celui qui veut croit avec certitude que vouloir et agir ne font qu’un. Libre-arbitre = parce qu’on a voulu il y aurait accomplissement, état de plaisir devant la réalisation de sa volonté de puissance, que la volonté a triomphé. « l’effet c’est moi » relations de domination, de pouvoir et de morale : la collectivité dirigeante s’identifiant à la communauté
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