Notion : la vérité

Le sujet : La vérité ( la démonstration et l'interprétation )

Introduction :

• On peut d'une manière général définir la vérité comme l'adéquat° ( correspondance ) d'un discourt à ce qu'il décrit. Autrem° dit la vérité est l'accord d'une pensée, d'un jugem° avec ce qui est réellem°. C'est l'accord du mot et de la chose. La vérité ne porte pas sur les faits mais sur les jugem°. Parfois certaine fonct° du langage courant sont ambiguë « ce sont de vraie perle ». On peut se demander comment accéder à la vérité ? Quels sont les critères de vérité qui permettent de savoir que nos propos est bien en accord avec la vérité ? Ne faut-il pas admettre que la vérité est plurielle ? Ne faut-il pas aussi distinguer les vérités selon qu'elles dépendent d'une démonstrat° ou d'une interprétat° ? Interpréter c'est dégager une significat° là ou les faits sont obscures ( Freud ) ( cf. Inconscient et Histoire ). La démonstrat° est un procédé qui consiste à déduire. Par ailleurs, existe-il des vérités qu'on ne peut démontrer ?

I- Pourquoi chercher la vérité ?

1- La prise de conscience :

• Pour cherche la vérité il faut d'abord mesurer l’ampleur de ce qu'on ne sait pas. Il faut prendre conscience de notre ignorance. Celui qui ne prend pas conscience de son ignorance reste prisonnier des préjugés. C'est ce qu'illustre l'Allégorie de la caverne, la plupart des prisonniers refuse de ce questionner à propos des ombres. C'est en ce sens que Socrate affirmait « la seule chose que je sais c'est que je ne sais rien » mais je le sais donc je peux chercher à le savoir. Celui qui est prisonnier des préjugés pense savoir mais il ne sait pas. Le philosophe comme Socrate jette dans l’embarras celui qui croit savoir en lui posant des quest°. C'est ce qu'illustre l'hésitat° dans l'Allégorie de la caverne. La sortie de la caverne correspond à l'apprentissage de l'usage de la raison. Chaque étape manifeste une maîtrise plus importante de sa raison. Socrate est comparé par Platon à un poisson torpille ( électrique ) qui envoie une décharge qui secoue. En ce sens la vérité n'est pas d'abord ne possess° mais une recherche. Ainsi que le remarque Bachelard « ce n'estpas vérité qui est première mais l'erreur ». On apprend de ses erreurs. Avant de connaître le monde rationnellem° on l'imagine. Ainsi que le remarque Épicure lorsque les hommes sont malade, il s'imagine qu'ils sont punit par une puissance divine. Cela vient de ce que nous faisons d'abord confiance à nos sens avant d'utiliser notre raison. C'est considère Descartes l'une des causes de nos préjugés. L'enfant écoute ses sens avant d'utiliser sa raison qui n'est pas encore formée. On peut illustrer la difficulté d'accéder à la connaissance rationnelle de la nature par la difficile reconnaissance de l'héliocentrisme. C'est-à-dire la théorie de Copernic puis Galilée, la terre tourne autour du soleil. Pour chercher la vérité il faut d'abord détruire nos certitudes, croyances, préjugés. Ce n'est pas parce qu'une idée est majoritaire qu'elle est craie. Lorsque Galilée soutient que la terre tourne autour du soleil, il est seul, minoritaire. Le st. Office condamne Galilée a abjurer. On peut considérer que le st. Office est comme les prisonniers de la caverne. Par conséquent, on cherche d'abord la vérité parce qu'on désir savoir, pour se délivrer de l'inorance. C'est égalem° le projet cartésien à travers le doute méthodique de Descartes, qui découle de la prise de conscience de certaines illus° sensible et de l'existence d'opin° contradictoire sur un même sujet.

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