Nietzsche La naissance de la tragédie
Commentaire d'oeuvre : Nietzsche La naissance de la tragédie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Taati Annaa • 14 Décembre 2020 • Commentaire d'oeuvre • 1 204 Mots (5 Pages) • 1 818 Vues
Devoir de philosophie moderne
Explication de texte sur La naissance de la Tragédie, chapitre I, 1872 de Friedrich Nietzsche
La naissance de la Tragédie est un ouvrage de Friedrich Nietzsche publié en 1872. L’auteur venait d’être diplômé professeur de philologie à l’université de Bâle lors de la publication de son œuvre. Pour l’auteur, ce livre serait la première transvaluation de ses valeurs et serait comme le plus haut lieu entre la pensée grec et la sienne. L’extrait du texte à analyser se situe au tout début du chapitre premier de l’ouvrage qui se prénomme “Apollon et Dionysos. Le rêve et l’ivresse”. Le texte présente deux types d’arts opposé qui sont l’apollinisme, l’art de sculpter, l’art de l’apparence, de la beauté qui fait référence au rêve dans le titre du chapitre et le dionysisme, la forme de terreur, une musique, un poème, c’est-à-dire une pulsion qui anéanti la forme qui fait référence cette fois-ci à l’ivresse. L’auteur va donc longuement argumenter sur la redécouverte de l’art grec.
D’après Nietzsche, le problème présent serait le manque de compréhension de la part des philosophes vis-à-vis de l’évolution de la science esthétique. Pour expliquer cela, il va utiliser les deux divinités grec Apollon et Dionysos qui représentent les deux types d’arts. Grâce à ces deux symboles divins de la Grèce antique, l’auteur parviendra peut-être à faire comprendre l’évolution de la tragédie attique de la science esthétique. La question serait donc de savoir, comment Nietzsche peut-il atteindre la forme d’art la plus pure de la tragédie grecque ?
Pour y répondre il serait pratique de procéder à un plan en trois parties. En premier lieu il s’agira de commenter sur la science esthétique qui n’est pas comprise par les philosophes, puis sur le conflit entre l’art apollinien et l’art dionysien et enfin sur le lien légitime entre Apollon et Dionysos.
I/ Une science esthétique non comprise par les philosophes
Dans cette partie nous verrons que d’après l’'auteur les philosophes sont dans une ignorance et qu'il emploie une métaphore sur le dualisme apollinien et dionysien.
L’'auteur démarre le premier chapitre avec la première personne du pluriel. En employant ce pronom personnel sujet, il serait important de se demander de qui il s’agit dans le texte. En effet, le “Nous” employer dans l’extrait fait référence aux philosophes puisque juste après l’auteur explique qu’ils pourraient faire beaucoup plus pour les critiques d’arts entre autres la science esthétique. Les raisons seraient un manque de recul, un manque sur le point de vu dit “logique” et le manque d’intuition avant la réflexion sur l’idée d’assembler l’art dionysien et l’art apollinien. Plus simplement, l’évolution de la critique d’art serait la dualité de ces deux types et que pour cela les philosophes doivent changer de point de vue et accepter cette association des deux.
Après cette avancé, l’auteur énonce une métaphore importante en lien avec son raisonnement en faisant une séparation stricte par l’ajout des deux points. Nietzsche utilise la métaphore de l’amour, la procréation pour faire comprendre au monde de la philosophie l’intérêt d’assembler les deux sortes d’arts. "La dualité des sexes" c’est-à-dire l’homme et la femme seraient confronté à différentes péripéties comme dans une relation, jusqu’à finir par s’unir et copulé pour enfin créer une nouvelle vie. Ici il s’agirait de Dionysos et Apollon qui malgré les affronts, les différences, ils finissent par s’associé et créer un art nouveau.
II/ Un conflit entre l’art apollinien et l’art dionysiaque
Dans cette partie, l’analyse portera sur une image puiser dans la culture divine grecque et sur une perception propre à Nietzsche sur les sortes d’arts énoncé.
L’histoire de la Grèce dépend des Dieux du panthéon (création apollinienne, ce ne sont que des productions humaines qui tendent a proposé un monde de structure, raison pour laquelle les Dieux grecs sont représentable) que l’auteur considère comme deux pulsions, deux expressions de choses enfuie en nous. Il définit l’art métaphorique en empruntant deux figures de la mythologie grecque Apollon et Dionysos. En effet, Apollon est le fils de Zeus et de Latone, il est le Dieu de la beauté, de la lumière, de l’art et de la divination. Quant à Dionysos, fils de Zeus et de Sémélé est le Dieu de la végétation et de la vigne, du vin. Ces deux symboles ont spécialement été choisi par l’auteur parce qu’ils se rapproche le plus de la situation mis en avant dans le texte par rapport à l’art et l’auteur ayant une préférence sur le style métaphorique, des exemples imagés pour argumenter ses idées et étant très influencer par la culture de la Grèce antique, il va utiliser ces deux symboles jusqu’à la fin pour représenter son raisonnement.
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