Locke
Commentaire de texte : Locke. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Abdu Cebe • 8 Avril 2016 • Commentaire de texte • 991 Mots (4 Pages) • 1 052 Vues
1er paragraphe:
Locke nous dit que chaque erreur doit être punie que ce soit par les lois de la nature que par un état ou une république(l.59-60). Il dit que les lois dans une société ou dans un état sont tout aussi positives pour les citoyens que les lois de la nature pour l’homme(ex. ne pas voler). Il pousse même sont raisonnement encore plus loin en disant que les lois de la nature sont plus évidentes et plus clair que les lois de l’état. Elles peuvent être comprises par des être raisonnable ou par celui qui les étudie (l.63) Ces lois. Locke fait un contraste entre la fantaisie et l’invention embarrassées des hommes et la raison(l.65-66). Les fantaisies et les inventions embarrassées des hommes risque de laisser la raison de côté et auront comme conséquence que l’homme va se diriger vers ses propres intérêts.(l.67-68) Partout, Locke dit nous avons les mêmes problèmes, c’est-dire que lorsqu’un homme juge, il risqué de juger selon ses propres intérêts (l.68).le même caractère dans beaucoup de pays (l.69) C’est pourquoi, Une loi est juste, seulement si elle est fondée sur la loi de la nature(l.69-71). Comme le premier groupe l’a déjà expliqué, c’est que la loi de la nature est le fait que personne ne doit nuire à une autre personne, par rapport à vie et à sa liberté.(l.21-22)
2ème paragraphe: Locke explique qu’il y a des personnes qui s’oppose à cette opinion. L’homme est influencé par son environnement et suit ses propres intérêts qui sont la passion et la vengeance. (l.72-75)C’est pourquoi l’homme ne peut pas juger équitablement.(l76) et cela n’amènera que du désordre et de la confusion(l.76). C’est pour cela que Dieu a établi les Puissances souveraines (l.77), c’est à dire un homme élu par Dieu. Il faut savoir qu’à cette époque, l’Angleterre était sous une monarchie absolu et donc il y avait un roi qui régnait.
Cependant, dans un deuxième temps, Locke fait une objection à cet argument que nous allons expliquer dans la citation.
objection
Donc, voici la citation….Comme nous l’avons déjà dit, Locke est d’accord que l’homme est influençable car il suit ses intérêts personnels, sa passion, son environnement. C’est pourquoi il est bénéfique qu’il y ait un élu pour prendre les décisions afin de mettre de l’ordre et rendre les choses claires
Contre objection
Mais il y a un problème qui se pose, c’est que l’élu, c’est-à-dire le monarque lui-même est un homme. Donc, il est également influencé par ses propres intérêts. Et on avait vu que l’état de nature devait être aboli car l’homme était influençable, alors Locke répond que les puissances souveraines doivent également être aboli. A la fin du deuxième paragraphe, Locke pose une question, il demande si le gouvernement civil est–il meilleur que l’état de nature.(84-85) c’est à dire est-ce que c’est meilleur par exemple un monarque qui juge, sachant qu’il homme et influencé par ses propres intérêts et son environnement. Il met en cause le jugement d’un monarque
dans cette citation il dit son objection et contre objection
3ème paragraphe : Locke présentent une objection de certaines personnes qui se demandent quand est ce qu’on a été dans l’état de nature ou même est-ce qu’on l’a déjà été.(l86-87) il répond que les princes et les magistrats(hommes élus) sont en état de nature et le fait d’entrer dans une société nous fait sortir de l’état de nature. Nous l’expliquerons après dans la citation. L’état de nature ne nous empêche pas d’avoir d’engagements avec autrui. Ce n’est pas parce qu’on est dans l’état de nature qu’on doit couper ns relations avec les autres, mais on peut avoir des engagements. Dans nos rapports avec les autres, nous devons prendre notre prochain comme un homme dans un EDN et non comme un homme dans l’état social. Pour illustrer ceci, Locke prend l’exemple, d’un échange entre un suisse et un indien dans les déserts de l’amérique, pour montrer que l’homme n’est pas identifiable uniquement à la société dans laquelle il vit, mais par l’homme tel qu’il est dans l’état de nature. En fin de paragraphe, il explique que pour perpétuer l’état de nature, il faut être sincère et fidèle.
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