L’intellect humain constitue-t-il une exception au sein de la nature ?

« Vérité et mensonge au sens extra moral » est une œuvre philosophique écrite en 1870 par Friedrich Nietzshe. L’extrait que l’on interpretera ici concerne Les représentations du monde et l’auteur nous donne son avis sur l’intellect humain et son exception au sein de la nature. Alors est ce que l’intellect humain constitue-t-il une exception au sein de la nature ?

« L’intellect humain » signifie l’intelligence humaine, la capacité de penser, de déduire en une conclusion ce qui est vrai ou non. « Exception » désigne l’hors du commun, un être qui sortirait de la norme ; Et la « nature » désigne la Terre, et toutes les espèces y résidant.

Dans une première partie, nous traiterons la naissance de l’espèce humaine, espèce intelligente et dotée de connaissance, puis dans une seconde partie nous traiterons l’humanité, puis pour terminé, la réalité, une espèce insignifiante.

Dans la première partie du texte, Nietzshe explique que sur la « planète », les humains inventent la connaissance et seraient donc dotée d’intelligence, plus que les autres en soit, on peut rappeler que la Terre est un « endroit quelconque de l’univers » et un endroit très grand. Il nous rappelle aussi que nous sommes tout de même des animaux, non différent de l’espèce que nous nommons animaux, malgré que nous parvenions a comprendre tout ce qui nous entoure. Cette connaissance du monde dans lequel nous vivons constitue la preuve que l’humain est une exception de la nature. Nietzshe utilise une stratégie, il met alors une distance entre notre supériorité et notre réel vie, avec « une planète », « animaux intelligents » ;

Dans la deuxième partie, l’auteur fait des rappels de temps, avec le mot « minute » qu’il repetera deux fois. Depuis que l’univers fut créer, le temps passe et les humains ont mis du temps avant de comprendre ses innovations, ce qui prouverait encore une fois que les êtres humains ne sont pas si important, et que nous nous croyons supérieur, alors que l’idée que nous nous faisons de nous est totalement fausse. L’auteur cherche à nous faire comprendre que toutes les religions parlant de nous comme étant ici pour une raison, n’est pas une réalité, mais aussi que toute histoire, comme toute vie à une fin, et n’est pas éternelle. L’homme se fait une fausse image de lui même « orgueilleuse » ,et « mensongère ». Mais comparé au temps de l’univers, aussi vite que nous aurons vécu, les Hommes moururerons, nous ne sommes qu’une infime partie de l’univers.

Dans la dernière partie, l’auteur explique que la mort constitue une morale, une morale qui ne met pas assez en valeurs l’aspect négatif de l’espèce humaine. Même si nous constituons une intelligente, et une connaissance que les autres espèces animal ne possèdent pas, nous avons beaucoup de points négatif, et que notre disparitions de la Terre ne changerait rien à son fonctionnement, et que si la Terre a su fonctionner sans nous avant, si cela se reproduit « il ne se sera rien passé ».

Pour conclure, et répondre à notre question ; L’intellect humain constitue-t-il une exception au sein de la nature ?

Je répondrai en disant que si selon Nietzsche les Hommes possèdent une part de l’exception, car oui nous sommes une espèce

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