Le viseur n'empêcherait-il pas d'une certaine façon de voir?
Dissertation : Le viseur n'empêcherait-il pas d'une certaine façon de voir?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar razacs • 24 Novembre 2018 • Dissertation • 1 380 Mots (6 Pages) • 630 Vues
Au fil de l’évolution des technologies, le principe de la photographie est apparu. Il consiste à emprisonner sur une feuille une image du monde où le temps ne s’écoule plus. Ainsi cette image ne changera jamais quelque soit le temps qui s’écoule. Pour photographier, de nombreux appareils se sont succédés. Au début, seul les très peu de personnes avaient accès à ces appareils. Ils photographaient les phénomènes rare qui pouvaient se dérouler devant leurs yeux. Néanmoins, avec l’évolution, ces appareils sont devenus plus facile d’accès et maintenant tous ceux ayant un peu d’argent peuvent en avoir. De ce fait, la quantité de photos a augmenté. Par conséquent les phénomènes visibles à l’oeil nu sont tous photographier ce qui traduit une diminution des surprises que nous réserve le monde. Certains deviennent même addict à cette activité. Mais certain éléments ne sont pas observable sur les photos et le champs de vision de celles-ci sont restreint par rapport à l’œil humain. La qualité est aussi moins bonne avec ces appareils. Ainsi on se poser la question suivante : La photographie n’empêcherait-elle pas de voir le monde dans sa totalité ?
Tout d’abord, nous montrerons que cette activité empêche d’une certaine façon de voir le monde. Certains éléments sont imperceptibles à la visée et sur la photographie obtenue. L’accès à cette technologie à rendu addict de nombreuses personnes qui ne jure plus que par la lunette de leurs appareils photos. Enfin, du au sur-trop des photos, la quasi totalité des surprises que nous réserve le monde qui nous entoure est observable de chez soit. Ainsi, certains ne portent plus attention aux phénomènes qui se produisent autour d’eux, les rendant ainsi, aveugle.
Toutefois, certains phénomènes sont si rare qu’il faut les prendre en photo afin de conserver une trace de leur existence. La photographie est de grands secoure dans les études de chercheurs sur l’environnement. La prise de clichés à grande vitesse permet de recueillir des informations essentielles sur le développement de notre environnement.
Lorsqu’une personne veut prendre une photo, soit elle regarde dans le viseur soit sur l’écran du l’appareil afin de cadrer la photo. De ce fait, il ne fait attention qu’à la partie immobile du paysage. En effet, sur la photo, le temps est arrété, figé pour toujours. Ainsi, on ne peut capter les mouvements du paysages ou du phénomène. Prenons l’exemple des migrations d’oiseux. Ce qui fait la beauté du spectacle, c’est de voir voler un grand groupe d’oiseaux et non de voir ce regroupement immobile. Ce spectacle est si magnifique qu’il attise les convoitises de nombreuses personnes. Pouvoir immortaliser cet événement est un bel objectif. Toutefois, les oiseaux vont très vite. Le temps de prendre l’appareil, de cadrer, et de prendre la photo, le photographe n’a plus le temps d’observer ce magnifique vol de groupe. Dans les paysages montagneux, voir bouger les arbres, ressentir les brises sous la cimes des sapins, cela fait la beauté de ce paysage. Il est donc impossible pour celui qui prend la photo de voir et de ressentir cela lorsqu’il prend la photo. De plus, comme la lunette de l’appareil est limitée, il peut se passer quelque chose de extremement rare, mais si cela ce fait pendant que la personne est entrain de prendre un photo et que ce pénomène n’est pas dans la visée, alors il restera inconnu. Ainsi, prendre une photo empeche celui qui la prend de voir de nombreuses choses.
Aujourd’hui, avec les avancées technologiques, une fois qu’une photo est prise, qu’elle soit extraordinaire ou pas, elle est souvent publier sur les réseaux sociaux. Ainsi, tout le monde peut la voir ce qui permet de procurer à celui qui a pris la photo une grande satisfaction. Mais du fait de la facilité d’accéder à cette photo, nous pouvons ne plus etre ébloui par la beauté du phénomène représenté sur la photo s’il se produit devant nos yeux. On peut prendre l’exemple du zoo. Sur les réseaux sociaux, on peut trouver des milliers de photos sur des animaux allant du plus petit au plus grand. Elles sont tellement vue, que elles impressionnent moins lorsque l’on les voit en réalité et
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