Le désir

Introduction:

Il désigne un sentiment ou une pulsion qui concerne ce qui n’est pas nécessaire ≠ se distingue du besoin.

Nécessaire: une fatalité du besoin comme boire de l’eau

Contingent: ce qui est et qui aurait pu être autrement.

Envie réunie les 2 car: j’ai envie de boire ≠ j’ai envie de boire un cocktail.

Besoin est l’essentiel de se dont a besoin l’organisme.

Le désir est défini comme un manque de la conception du classique.

le désir est un vide qu’il faudrait combler

On désir ce qu’on a pas, ce qu’on est pas encore. Le désir est en grande partie de l’imaginaire. faits: éprouve du plaisir a désiré. Il creuse notre intériorité

ex: Noël, les enfants demande sur leurs liste ce qu’il n’ont pas.

Relation amoureuse = retarde le moment pour plus l’apprécié.

• Start: si le désir cru et nu ferait horreur.

L’insatisfaction de ne pas remplir son désir n’est pas une souffrance = espoir

Rousseau: malheur à qui n’as plus rien à désiré.

Cela nous distingue de l’animal eux qui ne connaisse que la nécessité.

Le mythe d’Aristophane: jadis les couple était parfait. Alors il voulue récupère la place des dieux. De ce fais, Zeus à l’aide Apollon les couperais en 2 il devienne des âmes peine qui on pour bute de leurs retrouvé leurs moitiés.

Le désir révèle notre finitude

La finitude: c’est quand l’être humain sais qu’il vas faire face à la mort. De ce fais, il n’as pas le temps de satisfaire tout c’est désire.

Le désire relève bien notre finitude. Le désire apparaît comme quelque chose de négatif. Il souligne l’impuissance de l’homme incapable d’affronter la démesure de ses désires sans fin.

Ex: Don Juan esclave de ces désires. Il aime séduire infiniment les femmes.

Le fardeau du désir

Le mythes de tonneaux de danaÏdes : femmes tué leurs marie la nuit de leurs noces sont alors condamné a compiler une tache interminable. Remplie des jarres percés, une tache absurde, ingrate, humiliante.

Le mythe de Sisyphe: homme ayant défié les dieux est condamné a roulé un roché jusqu’au haut du sommet mais chaque jours avant la tombé de la nuits il échoue et recommence ainsi chaque jours.

Schopenhauer: l’aumône qu’on jette à un mendiant: elle lui sauve aujourd’hui la vie pour prolonger sa misère jusqu’a demain.

Victime de ses désire l’homme n’est pas libre et veux toujours plus, il est à l’image de c’est mythe car il est aliéné au fardeau de désire toujours plus.

II.

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