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La vérité en philosophie

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Par   •  30 Avril 2022  •  Cours  •  1 039 Mots (5 Pages)  •  878 Vues

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La vérité

La vérité est l’un des objectifs de la philo

Repère historique

Instauration démocratie : nouveau système d’éducation : mener la recherche d’une pensée juste, des connaissances vraies, de d’écrire et d’expliquer ce qui est vrai. Aristote rompt définitivement avec les mythes.

Contrairement e ces philosophe, les sophistes se prononcent maitre de la sagesse. Ils sont dénoncés par Platon et Socrate, du au rapport qu’ils ont avec le savoir. Métier : Préceptorat, se faisait payer très cher =/ philosophe vivant souvent dans la misère.  Sophiste recherche du pouvoir et non de la vérité comme les philosophe par la maitrise du langage et la rigueur d’une démonstration.

I Définition de la vérité 

Est un vrai un énoncé, une pensé conforme au réel, a ce qui est.

Vérité : s’oppose à l’opinion commune, mensonge, préjugé, erreur, illusion.

A vérité différentes des opinions communes et de l’apparence.

Opinion commune ; connaissance peu fiable, fondée sur des impressions, des sentiments croyance ou jugement de valeur subjectifs. La vérité est objective, relevant d’une réflexion rigoureuse et juste. Vérité : universelle opinion : personnel. Opinion s’oppose à la science. La vérité repose sur des savoirs.

Socrate et Platon : recherche de vérité. Selon eux : vérité absolue : ordre divin, stable et permanente. Se différence de l’opinion commune : mouvance + instabilité.

Paraitre : copie + ou – fidèle de l’être

Être : modèle, vérité

Paraitre est une apparence de l’être : source d’erreur ou d’ignorance. ( allégorie de la Caverne )

Sophiste : persuader et convaincre sans recherche de vérité, impression de dire vrai

Utilise la maïeutique, purement artificiel (ex syllogisme)

Socrate et Platon : recherche de vérité

Utilise la rhétorique

Affrontement.

Vérité ; conformité entre ce que nous disons et ce qui est.

II L’opinion commune et les préjugés

Préjugé : opinion admise sans jugement ni raisonnement : subjectif et superficiel. Fondement sur le paraitre : apparence de l’être.

Vérité : raisonnement logique et cohérent, conforme au reel ;

Vérité se différencie du préjugé.

Opinion : avis que l’on se fait sur quelque chose, quelqu’un, sans y réfléchir : sécurisant + rassurant. Evite isolement, or l’inconnue nous faire peur et l’homme n’a pas la volonté de se détacher du groupe.

Ainsi on accepte une opinion sans y réfléchir, l’avoir soumis à notre esprit critique.

Préjugé : sans avis personnelle : habitude, conviction, hérité de l’enfance. Or aucune remise en cause par paresse, peur de se marginaliser. Sophiste exploite cette faiblesse, manque d’exigence de culture, incapacité à raisonner, pour mieux convaincre : manipulation plus facile.

Pouvoir qu’on leur donne.

Mensonge : différence entre ce que nous disons et le réel.

Le menteur est conscient qu’il ment, et s’en sert à ses propres fins. Intention : tromper autrui en faisait prendre pour vrai ce qui sais qui est faux.

Mensonge : source de confusion entre vérité et vraisemblance.

On ment par égoïsme ou par altruisme. Pas de recharge de vérité : le menteur s’éloigne de la sagesse et de la moralité.

Ex sophiste mente par recherche de pouvoir et d’argent contrairement à Socrate

Mensonge : met a mal les relation la confiance.

Kant pense que le mensonge nuit toujours a autrui

Constant défend pense que la vérité est un devoir. Ainsi seul ceux qui y sont digne la mérite.

Faut-il préférer la vérité a l’amitié, l’amour.

Erreur : error « course a l’aventure » : affirmation fausse, non conforme aux règles de la logique.

Selon Descartes elle résulte d’un décalage entre notre volonté et l’entendement : créer un écart entre le réel et ce que nous disons.

Erreur : pas la volonté de se tromper + impacte notre moral, confiance en nous.

Il est important de reconnaitre ses erreurs, elles sont les meilleures leçons de vie nous devons la surpasser.

Facon dont on accepte nos erreurs conditionne la façon de nous tromper, il faut être juste avec soi.

Cause : ignorance, étourderie, vanité.

Bachelar : les vérités scientifiques peuvent avoir un caractère éphémère et qu’elles doivent être remédier.

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