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La culture

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Par   •  19 Avril 2017  •  Dissertation  •  1 243 Mots (5 Pages)  •  667 Vues

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Au XVI siècle, l'humanité connait une révolution scientifique importante, notamment avec le faite que la Terre tourne autour du Soleil. Cette période va alors bouleverser les soi-disant réalités et les idées vont être remises en cause. Mais un philosophe français du XVII siècle, né en 1596 et décédé en 1650, va tenter de rendre toutes connaissances sûrs et certaines. Il est le fondateur du rationalisme moderne. Il s'agit de René Descartes. Pour parvenir à rendre toutes connaissances sûrs et certaines, Descartes va rechercher la vérité grâce à une remise en cause de la certitude et de l'existence du monde. Il va alors transmettre les méthodes rigoureuses des mathématiques à la philosophie en utilisant la méthode du doute (ou doute méthodique). Il expose cette méthode dans deux ouvrages qu'il a écrits, le Discours de la méthode en 1637 et les Méditation Métaphysique en 1941. Il va tout remettre en question et il va avoir des doutes hyperboliques. Il va alors se demander: existe-il une connaissance indubitable? La certitude pour Descartes est que "je pense donc je suis". Cette question que se pose Descartes est importante puisqu'elle répond à une respiration profonde humaine et à une expiration sur la vérité.

Du début du texte à la ligne 4, " [...] fut entièrement indubitable", Descartes donne des indications sur son but et la méthode qu'il va appliquer pour arriver à rechercher la vérité. Ensuite, il nous explique sa démarche de la ligne 4, "Ainsi, à cause [...]", jusqu'à la ligne 11, " [...] de mes songes". Elle consiste à rejeter les sens, les connaissances (mathématiques) et le monde. Après dans une troisième partie qui va de la ligne 11, "Mais aussitôt [...]", à la ligne 15, " [...] que je cherchais", Descartes découvre une connaissance indubitable avec le "je pense donc je suis". Dans l'avant dernière partie, de la ligne 15 " Puis, examinant [...]" à la 22, "[...] chose matérielle", Descartes vient en déduire qu'il est une substance pensante. Enfin, de la ligne 22 "En sorte que [...]" jusqu'à la fin du texte, il met en avant le dualisme cartésien.

Avec sa démarche, Descartes met de côté les sens, les connaissances et les pensées. Mais il ne parvient pas à trouver une vérité indubitable et pour lui, il ne peut que douter. Or dans le texte, on perçoit un changement d'avis à la ligne 11 " Mais aussitôt je pris garde que". Descartes dit qu'il "voulait ainsi penser que tout était faux" à la ligne 11-12. Sauf que pour penser que tous les objets de sa pensée et que tous ce qu'il pense est faux, cela nécessite bien l'existence de quelqu'un qui pense ses choses fausses donc qui a cette capacité de penser. Descartes découvre alors la vérité indubitable qu'il recherchait c'est à dire, "je pense donc je suis" (ligne 13). Cette maxime semble logique car lorsque je doute de la vérité de mes pensées, c'est que je pense pour pouvoir douter. Mais pour penser, il faut bien que quelqu'un face cette action de pensée. Ce quelqu'un pour penser doit bien exister car même si toutes les pensées sont fausses, il faut bien qu'elle les pense. Ainsi, lorsque j'ai un doute, cela signifie que je pense à ce doute alors j'existe. Ceci est le principe philosophique qui pour Descartes, lui a permis de découvrir une connaissance indubitable: " cette vérité [...] était si ferme et assurée, que toutes [...] suppositions [...] n'étaient pas capable de l'ébranler" (ligne 13-14).

Après avoir découvert le "je pense donc je suis", Descartes va se demander ce qu'il est. En effet, il vient de constater que ses capacités à penser et son existence étaient liées. Mais pour trouver ce

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