La conscience selon Freud
Commentaire de texte : La conscience selon Freud. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Thelma261098 • 17 Novembre 2015 • Commentaire de texte • 1 337 Mots (6 Pages) • 1 905 Vues
Cet extrait de l'évolution des idées en physique nous apprend, à travers la conception de la science et de la physique d'Einstein, ce qu'est l'évolution. Comprendre le monde et lui en donner sens, ceci est l'unique thème invoqué par Einstein. Dans ce texte, il cherche à montrer que « Les concepts physiques » comme dit dans sa thèse, naissent d'une réflexion matérialiste, de l'observation du monde sensible, du monde réel, du relativisme où « l'Homme est la mesure de toute chose »(Protagoras). Mais pour tout dire, ces concepts ont été retirés du monde intelligible, du monde des essenses immuables, où la raison est ce qui donne le fondement du réel, de l'idéalisme absolu. Cette double vision de l'Homme sur la physique joue avec les mécanismes du monde, avec « les créations libres de l'esprit humain » selon Einstein. Mais, laquelle de ces visions sont-elles à l'origine d'une vérité unique ?
« Les concepts physiques sont des créations... » est la thèse défendue par Einstein., où il dénonce la définiton de ce que sont les « concepts physique » et pour lui, ce sont « des créations libres de l'esprit humain »
Le concept est une idée qui peut être abstraite, résultant d'un travail de l'esprit, ou encore qui peut être générale qui, dans ce cas, concerne une pluralité. En évoquant le terme « physique », Einstein fait référence à la nature qui elle, provient d'une étude scientifique qui rendent compte de ses concepts naturels et déterminés. Einstein dit que « Les concepts physiques » sont « des créations libres de l'esprit humain ». Ces créations sont des inventions créant ce qui n'éxite pas. Elles sont dites « libres » et donc infinies : elles ne dépendent de rien ni de l'homme car l'homme possède une volonté libre qui peut se déterminer elle-même, indépendamment de l'enchainement temporel de sa vie : l'homme peut donc commencer une action qui ne soit pas déterminée par des causes antérieures.
La formulation de la thèse d'Einstein lui donne la position de positiviste. En effet, ces « concepts physiques » proviennent du réel qui résultent de copies imparfaites que l'homme n'a pas crées mais qu'il sait retrouver grâce à la raison, tout en refléchissant. Et c'est à égard que s'oppose l'Idéalisme absolu d'Einstein : il emploie ainsi des termes mettant en parallèle « l'esprit humain » et le « monde extérieur » pour montrer qu'en réalité dans le monde sensible, tout est conceptuellement trompeur et que, seule l'Idée vient avant le réel et qu'elle est universelle, l'emportant sur le tout.
Pour devenir autonome et comprendre le monde, l'Homme se doit de sortir de sa nature, aller vers le haut, s'élever, faire l'effort de réfléchir pour accéder au monde des Idées de la raison. Einstein explique cet « effort » de l'homme pour comprendre le monde en comparant des termes « ressemblons » et « essaye de comprendre le mécanisme d'une montre fermée » qui laisse à laisser croire que finalement, ce n'est pas si facile d'acceder à la raison. Il fait référence ici au mécanisme de la montre fermée disposant de pièces utiles à son bon fonctionnement : tel un mécanise du monde sensible auquel l'illusion se joue de nous. Einstein, par cette métaphore complétant sa thèse, essaye de faire comprendre à l'homme, par le biais d'un mécanisme d'une montre comparé au mécanisme du monde, que le monde à un sens. Il veut nous faire comprendre qu'il ne faut pas se contenter « uniquement » de ce qui est « déterminés par le monde extérieur ». Pour décrire le monde extérieur, l'auteur utilise de nombreuses similitudes par rapport au monde intelligible comme « le cadrant », « les aiguilles en mouvement », « le tic-tac », « le boitier »... en intégrant les sens de l'Homme par la vue « il voit » mais aussi par l'ouie « il entend ». Par cette métaphore, Einstein veut simplement nous faire comprendre que voir est différent de savoir, que les choses apparentes, les copies de ce monde inconsistant ne permettent pas de comprendre le mécanismes du monde des vraies choses. Pour accentuer le fait que l'homme n'a pas de connaissance profonde du monde des vraies choses, Einstein évoque à la ligne 5 qu' « il n'y a aucun moyen d'ouvrir le boitier » Il veut prouver qu'un Homme ne peut être autonome qu'en accédant à la raison, que l'Homme doit aboutir à la réflexion pour acceder au monde intelligible, et qu'il ne peut évoluer et comprendre le mécanismes internes des choses dans un monde d'une réflexion matérialiste, ou l'on croit que ce que l'on voit.
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