La conscience - Introduction partielle.
Cours : La conscience - Introduction partielle.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nonoprig • 18 Avril 2016 • Cours • 425 Mots (2 Pages) • 1 156 Vues
La conscience
Certains singes, les dauphins et les éléphants sont capables de se reconnaître dans un miroir.
Sous ces deux significations comme conscience spontanée et comme conscience réfléchie, la conscience est ce qui définis l'homme.
Dans les consciences spontanées, la conscience ne se pose pas comme objet même de son investigation ; ainsi lorsque que nous voyons, sentons, imaginons, la conscience
ne fait qu’accompagner ces actes psychiques.
En revanche dans la conscience réfléchis, elle correspond au dédoublement du sujet se saisissant comme conscience.
Si l'animal en reste aux simples sentiments de soi ; l'homme au contraire ce considère comme sujet, il est conscient de soi.
la conscience est donc l'intuition, c'est-à-dire la connaissance immédiat qu'à un sujet de son activité psychique, de ses actes, du monde et de lui-même.
Il convient par ailleurs de ne pas confondre la conscience moral (distingué le bien et le mal) : la propriété que possède l'humain à émettre des valeurs ou des jugements moraux.
Et avec la conscience prise au sens philosophique : "l'homme est conscient de soi, conscient de sa réalité et de sa dignité humaine, et c'est en ceux-si qu'il diffère de l'animal,
qui lui ne dépasse le niveau du simple sentiment de soi" (citation tiré de "Introduction à la lecture de Hegel" par Nojève).
Si l'animal se sens existé, l'homme en revanche se sait exister.
1- les déterminations de la conscience
Ces éléments limitent en partie ma liberté. la conscience se veut un acte liberté dans la mesure où elle paraît échapper aux déterminismes,
c'est-à-dire à la nécessité du monde. elle se croit source d'effets et elle se veux en dehors de toutes causes étrangères à elle-même.
En s'affirmant comme libre détermination. La conscience se définis comme l'acte auto-réflechie d'un sujet qui se connaît lui-même comme sujet.
Comme concevoir le rapport de la conscience au monde, deux hypothèses s'offrent à moi :
Soit on situe la conscience dans une position fondatrice d’auto-détermination, on parle alors de dualisme entre la conscience et le monde . Dans cette hypothèse la conscience est auto-déterminer, autonome ; dans cette hypothèse ma conscience est soustraite au déterminisme du monde et ma liberté est jugée total, absolu ; puisquene dépendant que de ma seule volonté. On parle de philosophie de sujet. C'est-à-dire de concepion où le sujet est tout entier libre de lui-même et la liberté absolu.
Soit ma conscience est tout entière dans le monde, on parle alors de monisme. C'est-à-dire que le monde extérieure et ma conscience ne font qu'un. Dans cette hypothèse le sujet perd de sa liberté puisqu'il est soumis au déterminisme du monde. L'homme n'est donc plus la seule source de sens.
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