La conscience : Combien de temps dans votre vie êtes-vous conscient en pourcentage ?

La conscience :

Combien de temps dans votre vie êtes-vous conscient en pourcentage ?

Inconscience : Ce que l’on ne sait pas, on ne peut pas savoir quand on est inconscient.

La conscience de soi :

Penser

Action consciente ? Si l’on veut -> la volonté

Distinction Conceptuelle :

Il y a différente sorte de conscience.

Est-ce que ma conscience me rapproche-t-elle du réel ?

Sujet ≠ problématique

Conscience > de quelle conscience ?

Réel > réalité physique ; réalité métaphysique (idéale).

On dit que le réveil est un moment où l’on reprend conscience.

La conscience est qlqch d’attentif au réel.

La conscience immédiate -> on le comprend directement

C’est la conscience qui nous met en contact avec le réel. Au contraire, nos perceptions détachées du monde comme les rêves, l’imaginaires etc.… eux nous éloigne de la réalité.

Cependant, la conscience définie comme la conscience-de-soi est une façon pour l’être humain de se connaitre lui-même dans la réalité et de s’identifier dans le monde qui l’entoure. Autrement dit, la conscience de soi correspond à une idée ou une abstraction que nous sommes présents au monde.

Ex :

Inné : de la nature

Acquis : culturelle

A partir de 1969, on commence à reconnaitre cette capacité aux grands singes (se reconnaitre dans un miroir). Gordon Gallup, fit l’expérience avec des singes. D’autre animaux arrivent à regarder dans un miroir, tout en ne se reconnaissant pas.

2 consciences humaines : la conscience de soi et la conscience morale, on partage avec les animaux la conscience immédiate.

Est-ce qu’on peut prendre conscience de soi sans autrui ?

Autrui :

• Reconnaissance d’autrui.
• Regard extérieur qui permet de révéler des vérités sur soi.
• Point de comparaison.

Altérité permet de comprendre notre identité.

ADN : Substance -> Ce qui demeure ; -> matière.

Ce terme nous revient de Grèce antique, les philosophes de l’époque

Qu’est-ce que l’identité du moi/sujet ?

1. La controverse :

Le moi c’est cette unité qui représente le « fort intérieur ». D’une certaine manière, on attribue ce moi, à la conscience de soi ou à la conscience morale. Ainsi, chaque individu serait unique, car il serait le seul tt au long de sa vie à avoir vécu ses perceptions, ses états d’âme et ses expériences.

Emmanuel Kant (philosophe des lumières)

• Se poser la question : « qui suis-je ? », implique de définir ce qu’est une personne.
• En effet, une identité personnelle, c’est ce qui est relatif à la personne en nous. (Humain≠animal)
• Problématique relatif à la question
• Si la conscience était un objet de connaissance comme un autre.
• Ne devrait-on pas dire alors : « Que suis-je ? ».

1. Étude de texte : Controverse (deux auteurs/ deux points de vue)

• Gottfried Wilhelm Leibniz [1646-1716].
• Philosophe et mathématicien Allemand.
• On le considère comme faisant partie du mouvement rationaliste.

• David Hume [1711-1776].
• Philosophe et économiste écossais.
• On le considère comme faisant partie du mouvement empiriste.

Texte de Leibniz : Nouveaux essais sur l’entendement humain (1703) :

Thème : Identités

Thèse : (Argument)

• Il existe une identité personnelle « morale » d’où il est possible de partir pour justifier une identité morale « unifié ».
• Même s’il est possible de perdre ce lien, autrui peut remplir le vide de ma réminiscence.

Texte de Hume : Traité de la nature (1740) :

Thème :

Thèse : Mon identité (‘’moi’’) est relative aux perceptions.

Enjeux : Le ‘’moi’’ ne serait pas substantiel.

1. Les méditations Métaphysiques :

• C’est quoi : « cogito ergo sum » ?

C’est une proposition en latin voulant dire : « je pense, j’existe ».

René Descartes, Les méditations métaphysiques :

• Dans cette œuvre, Descartes suit le chemin de l’esprit qui se détache des sens pour trouver en lui-même les vérités premières.
• Méditation : Réflexion sur soi-même.
• Il s’agit de trouver les fondements de la connaissance, de la science.
• Comment trouver des vérités absolument certaines ?

• En déterminant tout ce qui pourrait être faux.
• Le reste sera donc forcément vrai.

Méthode : Doute radical.

Le doute radical :

• Les sens :

• L’illusion est possible
• Rêve, Mirage
• Il est possible de douter de nos sens.
• La vue, l’odorat, l’ouïe... ne sont absolument pas fiable.
• Mais on doute également des choses réelles.

• Le réel :

• Puisque ce que je vois vient des sens.
• Et que je doute de ce sens.
• Je doute également de la réalité qu’ils nous montrent.

• Le doute est double :

• Épistémologique : relatif à ma manière de connaître
• Ontologique : Relatif à l‘existence, au réel

• Les propositions mathématiques :

• Descartes pense que même les vérités les plus élémentaires ne sont pas certaines.
• Il suppose l’existence d’un malin-génie nous tromper sur ces vérités.

Ex : Regardes : 2+2=5.

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