Je est-il un autre ?
Dissertation : Je est-il un autre ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nani-305 • 23 Novembre 2017 • Dissertation • 1 053 Mots (5 Pages) • 2 646 Vues
Dissertation de Philosophie : Je est-il un autre ?
Le complexe de culpabilité, relaté dans le film de Hitchcock « la maison du docteur Edwards », expose à travers le personnage principal masculin cette maladie. Le protagoniste à oublier qui il était et ce prend pour un autre, il n’est plus lui même. Cette perte d’identité montre que Autrui est un être distinct, dissemblable. Alors que le je se réfère à soi-même mais il est applicable à toute personne. Nous nous demandons donc si il est possible d’être je et autrui à la foi. Je est-il un autre ? Le problème qui se pose est donc la question du lien entre cet être distinct et sois même, est il possible qu’il ne face qu’un. Nous nous demandons comment obtenir un être unique si ‘‘je’’ est autrui ? Je a t’il différentes facettes qui pourrait faire de lui un autre ?
Je, idem en grec, représente une premier définition du sujet, lui donne une identité. Cette identité, défini par René Descartes, inclus le fait que le je serait un sujet pensant qui a une conscience réfléchie et qui es un socle, une base fixe qui permettrais de connaitre ce qui nous entoure. Mais le sujet est il seulement défini par idem ? Pas du tout, il est aussi expliqué comme Ipse, Sois même, qui signifie le changement. Cependant, ces changements ne sont pas expliqués dans la définition du sujet. Que fait je avec les changement que nous subissons ? Paul Ricœur ce pose cette question, et applique les idée d’idem et d’Ipse à l’identité narrative, pour ultérieurement, parler de l’identité personnelle. Les personnages de roman évolue et donc, il ne sont plus les même au débuts et à la fin du roman. On remarque à travers ces changements l’intervention de Ipse dans le roman. Nous remarquons donc, que le sujet est composé de deux parties différentes Idem et Ipse qui provoque des changements. Comment garder une identité malgré les changements ?
Ces changements, variations posent problème. On remarque que avec Ipse nous subissons différant changement. En effet, cette notion nous montre comme si nous étions composé de différente facette. « Le loup des Steppes », de Hermane Hesse, nous montre cette évolution a travers le personnage d’Harry Haler, qui représente l’auteur. Le narrateur fait un bilan face de son reflet et remarque les différents changements, évolution corporelle qu’il a subis. On découvre alors que Harry à une part caché, une ‘‘face obscure’’, il est le loup, comme Harry représente l’auteur, cella signifie de H. Hesse a aussi une face obscure. On remarque la présence de cette face obscure, avec la distance du sujet « je » face à ces changement dans l’usage de la troisième personne du singulier. Cella laisse supposé un autre à travers sois, et de même, la présence des variations dans les quel le sujet s’inscrit laisse supposée que l’identité est perdu et que ‘‘je’’ est un sujet éclaté. Néanmoins, supposé que ‘‘je’’ est un sujet éclaté pose problème. Comment et es il possible que ce ‘‘je’’ ai des facettes distinctes sans être un sujet éclaté ?
Tous ces changements qui présagent que ‘‘je’’ est un autre, induise donc que je est un sujet éclaté, brisé. Cella signifierais donc que nous ne sommes pas toujours les même à travers de ces changements
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