Faut-il penser à la nature ?

● Dissertation Philosophie : Faut-il penser à la nature ?

Définition penser : A. Sens large : exercer une activité de l’esprit; avoir une représentation mentale.

B. Sens restreint : exercer une activité intellectuelles ou rationnelle.

Définition nature : A. Nature d’un être : a) Chez Aristote : principe de production, cause productrice du changement d’un être.                                                                                                                      b) Ensemble des caractères ou propriétés définissant un être.                                                  c) tout de ce qui, dans un être, est innée, par opposition à ce qui est acquis.                                        B. Nature en général : a) Ensemble de tout ce qui existe (règne animal, végétal, minéral) en tant qu’il obéit à des lois.                                                                                          b) Chez Spinoza : Dieu, conçu comme immanent au réel.

- Nature = environnement

Faut-il : falloir = obligation/ nécessité ; à quelle règle : relative à une loi (une réglementation) 🡪 au sens moral

Brouillon :

- Nature = milieu à la fois physique et vivant.

- L’homme est un produit et un acteur de la nature

- L'homme peut, par sa raison, se rendre maître de la nature dès lors qu'il connaît ses lois. Cette conception a toutefois été critiquée comme réduisant la nature à un statut d'objet dont les êtres humains, les sujets, pourraient disposer à leur guise.

- La philosophie, depuis ses origines grecques, se préoccupe de la Nature (phusis) et des relations que les hommes nouent et dénouent avec elle. Au cours des siècles, le mot « nature » a connu et connaît encore plusieurs acceptions. Ce peut être une totalité qui a en soi son principe de développement, un Tout ordonné que l’on peut comprendre (les fameuses « lois » de la Nature) et aussi ce qui fait qu’une chose est ce qu’elle est. C’est également ce qui se distingue du culturel, de l’artificiel, une nature « naturelle » en quelque sorte.

- Lesrapports de l'homme avec la nature : changer de paradigme philosophique :: Café Philo Sophia (cafephilosophia.fr)

Nature = environnement (artificiel ou sauvage), écologie (arbre, paysage : géologie, animaux…), les êtres vivants. Nature apprivoisée et cultivé par l’homme/ Nature sauvage -> apprivoisé et dangereuse, enjeux de conservation de la nature. Rapport Homme/Nature

Thèse : Pour la protéger, agir contre ce que nous faisons actuellement (pollution, déchet, …), pour l’entretenir (préserver la biodiversité), parce que aussi on y vie on en fait partie, prendre conscience (penser), pour préserver les espèces animales

Antithèse : Les contraintes économiques, politique et social que cela peut engendrer, ça peut supprimer des emplois, volonté individuel (pas envie, contrainte au quotidien), Si on ne pense pas à la nature on va la détruire.

Avis du prof : Manque de recul + faire ressortir le débat du sujet, mais les idées sont justes, être plus méthodique, ressortir les éléments des textes, la difficulté, …

Problématique : Est-il nécessaire de penser à la nature pour sauver notre planète ?

Introduction :  Aujourd'hui, les incendies ravagent une partie de l'Amazonie, de plus, en un an seulement, de juillet 2019 à juillet 2020, la déforestation a augmenté de 34,5 % au Brésil. Certains États occidentaux s'inquiètent fortement des conséquences que cela pourrait avoir. L'activité des hommes impacte donc l'environnement à cause de l'activité des usines, des transports. Les conséquences peuvent être lourdes et peuvent impacter la planète entière.

Plan à s’inspiré : On commencera par montrer que la préoccupation environnementale est d’abord liée au développement des activités humaines principalement au XIXème siècle, puis nous mettrons en évidence que le 2 questionnement de notre modèle de production et de consommation dans les années 1970 fait émerger la prise de conscience d’un nécessaire nouveau modèle de développement pour enfin observer que le monde actuel est travaillé par une angoisse climatique et écologique profonde toujours niée par des climato sceptiques.

I/ Les principales causes de l’ignorance de la nature sont en nous même :

Les principales causes de l’ignorance sont en nous-même. Ce sont entre autres :

• nos limites : intellectuelles, cognitives, génétiques,
• nos déterminismes : éducation, culture, morale, interdits, relations, vécu, habitudes, psychologie, etc,
• notre condition : rappelons que notre rapport au monde est par nature subjectif,
• notre orgueil : c’est l’impression de tout savoir, ou d’en savoir suffisamment.

D’autre part, l’ignorance peut être due à un manque de volonté. L’individu qui s’attache à ses préjugés et ses illusions cultive son ignorance.

II/

III/

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Notes :                Remarque :

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● « Faut-il penser à la nature ? »

            La planète est aujourd’hui confrontée à une crise environnementale d’une ampleur inégalée dans l’histoire humaine. C’est pour cela qu’il est nécessaire de protéger l’environnement et sa nature. Par définition, le sens premier du mot « nature » est le milieu ou l’environnement au sein duquel nous évoluons, c’est-à-dire tous ce qui se fait sans l’homme, ainsi que tous ce qui existerait si l’homme n’existait pas et n’avait jamais existé. C’est en ce sens qu’Aristote définit la nature comme « un principe est une cause de mouvement et de repos » (Physique, II). De plus, « penser », du latin « pensare,peser », est la fonction qui forme des idées dans nos esprits, c’est donc un acte réflexif de l'homme vis à vis de sa conscience. L’homme a donc conscience de la situation environnementale actuelle. Or dans notre société aujourd’hui il y une certaine forme d’ignorance envers la nature dû à plusieurs facteurs et qui apporte énormément de conséquence. C’est ainsi que nous nous demanderons s’il est nécessaire de penser à la nature et au contraire si l’ignoré devient problématique ? Pour répondre à cette question, il est tout d’abord nécessaire de mettre en avant que la survie de l’homme ne dépend que de la nature. Puis, il convient d’étudier que cependant, ignoré la nature permet à l’homme de se développer sans contrainte économique, sociale et politique. Pour terminer, nous verrons donc qu’il faut respecter et vivre en harmonie avec notre environnement pour la protéger.

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