Faut-il du courage pour philosopher ?

Daguenet Clvois TE

DM n°2 Pilosiphie

        Le texte proposé est un texte issu de l’ouvrage intitulé Naissance de la philosophie à l’époque de la tragédie grecque   de Friedrich Nietzsche. On retrouve dans celui-ci comme thème générique le courage que l’homme ce munir pour philosopher. L’idée défendu par l’auteur est la suivante : la vie et  la pensée sont tous deux conçu dans une même volonté qui est de dénoncer des obstacles

 Dans ce texte, Nietzsche pose le problème de la vie et de la réflexion sur celle-ci. Comment vivre sa propre vie en pensant et en pratiquant ce retour sur soi que l’on appelle la « réflexion ». Ne faut il pas un faire preuve de courage pour se dépasser ainsi et se poser la question « comment peut-on vivre ? »

Ce texte ce découpe en trois parties disjointes : le première de la ligne 1/6, nous avons la sauvegarde de l’homme ; de la ligne 6/14 le dépassement des penseurs. Puis de la ligne 14/19 le miracle de la survie des penseurs malgré le tiraillement entre le destin de concertation et l’instinct de pensée.

        Pour commencer, l’auteur nous présente la sauvegarde de l’homme, malgré la réflexion qu’il exerce sur sa propre vie. Il vas formuler cela par une question existentiel dans la ligne 2 : « comment peut-on vivre ? » Puis  nous comprendrons par la suite, que dans cette première partie (ligne 1/6) Nietzsche vas nous faire comprendre par sous-entendu qu’elle homme une conscience et qu’il l’emploi pour ce questionner dans le but de « comprendre ». Comprendre qu’il possède une « inventivité » par exemple. Que nous pouvons ici définir comme terme désignant ici la capacité à s’adapter, l’ingéniosité, les « trouvailles » que développent les êtres vivants pour survivre dans les conditions d’existence les moins favorable.  Mais alors nous pouvons désormais  nous poser la question de ce qu’est la « conscience » : elle est la capacité de ce dédoubler, sait à dire d’êtres à la fois observateurs et observer. Elle permet également de maitre une distance vis à vie des mes actes de pensées, mais aussi de ceux d’autris.  Elle permet finalement d’êtres juge de ce qui nous arrives. Comme le démontre Nietzsche avec la comparaison de l’inventivité  de l’homme par l’observation et donc « l’admiration » de celle de la plante. Nous pouvons dire de cette de cette découverte de l’homme, que c’est une véritable prise de conscience. Nous viendra ensuite dans une prochaine partie, la question du « courage que doit faire preuve l’homme pour ce poser des questions existentiel.

        Pour conclure la conscience est un outil qui est donné à l’homme, pour ce questionner et pratiquer la réflexion chez l’homme qui invoque le courage chez lui pour faire face aux difficultés quelles procure.            

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