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Dissertation sur la société

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Par   •  9 Mars 2017  •  Dissertation  •  1 293 Mots (6 Pages)  •  682 Vues

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Devoir 5

Philosophie

               Saifi Younes

           

                    Nous considérons que notre société actuelle a permis à l’homme de s’épanouir , de se sentir libre et de retrouver une dignité grâce ou par une conscience morale acquise. Mais est ce  autant valable pour tout les hommes ?                                                                        Cette conscience morale  qui permet a l’être de différencier le bien du mal et nous offrant la capacité de jugement et nous permettrai de canaliser nos pulsions tout en nous responsabilisant de nos actes.

Acquise au fur et a mesure du temps dès notre naissance grâce a l’éducation de nos parents aux lois de notre société ou de nos convictions religieuse n’empêchent elles pas d’être nous même sans que celle ci nous frustre au point de devenir étranger de notre propre personne.

Sommes nous aliéné par elle au sens ou nous sommes moins libre du « soi » en ayant un devoir pour nous même et pour autrui ou bien au contraire permet elle de nous sentir plus libre sans pour autant avoir un rapport d'aliénation avec celle ci.

Pour cela il faudrait tout d'abord faire une approche sur le sujet , un portrait de cette problématique qu'est ce que « la conscience morale » , ensuite nous nous intéresserons sur ce mot assez ambiguë pour certains « aliénation ».

                La première approche que nous pourrons considérer c'est que cette conscience morale est régit par un devoir d'obligation dont le but est que nous soyons en paix avec notre « moi » et avec autrui en suivants des règles.

La conscience morale est la faculté de juger du bien du mal et d’apprécier nos actions et celle d'autrui tant dis que la conscience psychologique est l’intuition de ce qui se passe en nous même , de nos émotions de nos pensées...

Faire le « bien » est considéré comme une obligation.

Si l'on observe un croyant celui ci vivra en fonction de ses interdits ou obligations religieuses.

S'il ne doit pas boire de l'alcool alors il n'en boira pas car il est constamment suivi par cette petite voix qui lui parle a chaque faits et gestes dans son fort intérieur et qui guide sa conduite.    

Il juge qu'agir ainsi est bien, c'est ce qu'il doit faire pour être aimer e dieu et surtout pour se procurer une bonne fin en l’occurrence le paradis.

Certains verront ce croyant comme un homme frustré ayant une liberté très limitée et pourtant lui même peut lui arriver d'avoir fait une chose interdite mais ne fera pas comme par exemple prendre une drogue.

Sa petite voix de conscience sera « je ne dois pas faire car cela est mauvais pour ma santé ».

Dans les deux cas ils sont aliéné par leur conscience morale ou pas.

Chacun poursuit le bien qu'il croit être meilleur , l’intérêt c'est avant tout un bonheur personnel.

Kant estimait que «  la morale n'est donc pas a proprement parler de la doctrine qui nous enseigne comment nous devons nous rendre heureux , mais comment nous devons rendre digne du bonheur. »                                                                                                                                              

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