Dissertation, la pensée de Marx
Dissertation : Dissertation, la pensée de Marx. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hockeylynx • 8 Novembre 2017 • Dissertation • 895 Mots (4 Pages) • 895 Vues
L’autonomie et le droit de décision font partie du concept de la liberté. C’est ce dont Karl Marx avait comme mandat, d'informer la population, de divertir et de jouer un rôle phare dans le développement de la communauté. D’ailleurs, comme philosophe, il s’est beaucoup intéressé au concept de la liberté auprès des travailleurs. Celui-ci a eu beaucoup d’influence et grâce à lui, il y a eu des progrès sociaux pour améliorer les conditions de travail. Ainsi, on peut se demander si le travail permet à l’homme d’être libre. J’élaborerai donc sur une mise en contexte et une caractérisation de la pensée de Karl Marx, et je finirai par donner mon opinion sur cette question.
D’abord, la pensée de Marx s’est nourrie aux sources du socialisme. ll y a eu beaucoup de conséquences engendrées par le développement industriel qui prend beaucoup d’ampleur dans les milieux urbains ce qui incite les gens à quitter leur campagne pour aller travailler en ville. Donc, cette population abondante est une véritable opportunité pour les employeurs qui n’ont que pour objectif de faire le plus d’argent possible à n’importe quel prix. C’est ainsi que commence l’ère de l’exploitation de l’homme par l’homme. Ils travaillent de 14 à 16 h par jour, sans congé, travaillant même le dimanche. Les fêtes religieuses sont supprimées, ce qui prône la déchristianisation. Les enfants travaillent dès l’âge de cinq ans, la retraite n’existe pas, et de toute façon, les personnes de cette époque meurent jeunes. Les ouvriers sont battus, fouettés ou emprisonnés et doivent payer des amendes quand ils loupent une pièce. De ce fait, Karl Marx révèle que la société se divise en deux classes sociales qui sont la bourgeoisie ; celle qui possède les moyens de produire, et le prolétariat ; celle qui doit vendre sa force de travail pour survivre. Or, la révolution industrielle donne lieu à de grandes transformations sociales où les ouvriers tentent de survivre à la lutte sans merci qu’occasionnent les bourgeois dans leur recherche de profit. Les salaires sont minimes, causant des famines où les gens vivent dans des taudis et où ils sont environ une vingtaine.
Ainsi, pour Karl Marx, l’être humain est d’abord un résultat de la nature, un assortiment de potentialités naturelles que l’organisation sociale inhibe ou favorise. Ce qui peut distinguer l’être humain de l’animal est alors son activité vitale, le besoin de se réaliser en produisant des objets utiles et esthétiques. L’être humain ne travaille pas seulement pour ses besoins quotidiens, mais il produit pour la joie de produire, en d’autres mots la jouissance du produit. C’est en exprimant ce genre de besoin d’activité productive qu’il se réalise, s’affirme et donne un sens à sa vie en utilisant ses capacités physiques et intellectuelles. Il atteste que la division du travail proscrit, en quelque sorte, l’ouvrier à faire une tache répétée qui l’évite d’aboutir à son plein potentiel. La recherche sans cesse de profit est la base de toute l’économie capitaliste, ce qui mène à l’exploitation de classes sociales. Marx critique l’aliénation d’une société consommatrice qui crée n’importe quels besoins plus ou moins réels et nécessaires. Marx affirme donc que le bonheur n’est pas fait des choses que l’on possède, mais plus souvent des choses que l’on ne possède pas.
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