Conscience signifie d'abord mémoire.

Henri Bergson a cité : "Conscience signifie d'abord mémoire.". Ce texte est un extrait du premier chapitre de L'énergie spirituelle sortis 1911, intitulé « La conscience et la vie », il est écrit par Henri Bergson, un philosophe français de la fin du 19ème siècle et début du 20ème . Il entend démontrer que « nous sommes des êtres libres » et qu’ il suffit pour s'en convaincre d'écouter ce dont notre conscience peut « témoigner », et ce dont elle nous « avertit ». Mais alors, quel est ce témoignage que nous apporte la conscience ? Nous vivons des actions tout les jours c'est-à-dire qu’il y a toujours des expériences du choix, en effet, toute action « quelle qu'elle soit », est la réalisation d'une possibilité. Une possibilité qui n'était en tant que telle jamais la seule, mais une possibilité parmi d'autres. J’ai bu du café ce matin : je pourrais aussi bien boire du thé ; j'ai tourné à droite, mais je peux aller tout droit ou aller à gauche ; si je ne le fais pas, c'est parce que j'ai choisi de ne pas le faire, mais j'ai choisi autre chose. Par conséquent, lorsque nous agissons, nous décidons du type de possibilité que nous allons en faire, il convient de mentionner qu'avant d'agir, nous vérifierons l'existence de divers motifs et les comparerons ensuite et c'est sur cette base que nous faisons seulement une décision. Si je tourne à gauche ce matin, c'est que j'ai plus de raisons de le faire que de tourner à droite. La thèse que Henri Bergson soutient dans son texte est que nous savons que nous sommes tous libres parce que lorsque nous agissons, nous pensons que nous pourrions entreprendre une action différente et en faire un autre choix tout en en tenant compte d’autre motifs valables ou notre propre raison d’agir. Le choix que nous faisions est un signe de notre liberté et étant donné que notre conscience à tous accompagne ce choix, nous prenons petit à petit conscience de notre liberté. Mais une liberté qui assure le retour de nos choix. Nous disions que nous aurions pu choisir notre choix de façon différente et ainsi la culpabilité qui peut accompagner nos choix qui sont passés deviens la marque de notre sentiment de responsabilité, un sentiment que nous ne pouvons pas avoir quand nous sommes des personnes libres, que nous savons que nos actes sont primordiaux. Mais on ne peut pas se sentir coupable d’être tombé à partir du moment précis où la chute a débuté, c’est une loi physique qui élucide cela, mais cependant, toute personnes peut se sentir coupable, si on survit, de s’être ainsi jeté alors que d’autres solution étaient envisageables pour éviter cela. Ainsi la responsabilité est un signe d’une liberté qui est assumée. En clair, l’auteur nous dit que le fait d'être conscient nous indique que nous sommes libres. Cette liberté est établie par la possibilité de faire ou de ne pas faire une action et aussi par l'idée qu'après l'avoir faite, on se dit qu'on aurait pu la faire autrement. Regretter et avoir du remords montrent que notre volonté est libre.

Henri Bergson dans son texte parle vraiment de la conscience et que les hommes sont libres, libre de faire leur propres choix, des choix que la conscience peut quelquefois guider, les hommes sont donc des êtres autonomes . Mais il nous avertit sur

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