Commentaire de l'oeuvre d'Alain

Adrien                                                                                                                                       T STMG

Dufayel

Philosophie

1.a

Tout d'abord Alain, va distinguer l'homme de l'animal grâce à l'outil, il va nous démontrer que le seul « outil » de l'animal est son corps mais nous ne pouvons pas l'appelé outil puisqu'il fait partie de son corps, il ne le complète pas. De « il est remarquable […] broyer ».
Ensuite l'auteur va caractérise les deux aspects essentiels de l'outil utilisé par l'homme. L'outil façonne la matière et le savoir se transmet, il l'illustre avec l'exemple du père et de son fils. Puis dans un deuxième temps, il va nous montrer que l'outil protège et complète l'homme commeune « armure ». Le corps est fragile et il a des limites alors que l'outil non. De « Au contraire […] qui le fait souffrir ».
Puis il conclut que l'outil remplace le corps de l'homme dans la transformation et l'exploitation de la nature, l'outil donne un pouvoir supérieur à l'homme sur la nature, c'est pourquoi il n'y a de technique que la technique humaine. De « Ainsi l'homme […] la puissance de l'outil. »

 .b

L'outil est le propre de l'homme. Il permet de compléter les nombreuses capacités de son corps et d'accroitre ces performances, l'outil perfectionne l'homme mais il peut être dangereux s'il ne maîtrise pas le savoir-faire. L'animal lui possède seulement son corps comme seul outil.

2.a « Par la seule faux, l'art de faucher est transmis de père en fils. »

En effet, l'homme prolonge son corps par l'outil. Par ce biais, les attitudes, les comportements et les gestes de l'homme changent. Cet instrument permet aux générations futures de s'approprier une technique, la technique pour faucher car  « l'art de faucher et transmis de père en fils » alors l'outil suppose cette transmission puisque l'outil résiste à la fois à l'action et à la chose faite. Si l'outil résiste à l'action c'est qu'il nécessite un apprentissage et donc une transmission d'un savoir-faire pour une utilisation optimale et une maîtrise de cet outil car « l'outil peut blesser le maladroit ». 

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