Cause animale

                                                 Discours cause animale

89 % des français jugent la cause animale importante. En revanche, 97 % des français mangent toujours de la viande, et autres produits d’origine animale .Les animaux sont des êtres sentients, nous devons faire attention à eux et vivre en harmonie avec eux. A l’heure où je vous parle, nous devons faire quelque chose, car des millions d’animaux crient de terreur dans les abattoirs, cages ou caisses dans lesquelles ils sont enfermés, ces élevages privent les animaux de liens affectifs, ce qui amène à des souffrances psychologiques et physique. Enfermés dans des vils goulags ignobles de désespoirs.

Dans la souffrance, nous sommes tous égaux, un chien qui souffre, c’est la même chose qu’un cochon, qu’un ours, ou qu’un enfant qui souffre.

Chaque jours en France, 3 millions d’animaux sont brutalement tués dans les abattoirs, et la pêche tue des millions de poissons et blesse d’autres animaux marins avec les filets et autres. La viande est plus meurtrière que le tabac : le CO2, méthane et oxyde nitreux qui viennent des élevages polluent les océans en créant des zones mortes acides, hypoxiques.

Mais les animaux sont des êtres tout aussi intelligent que nous et devraient être traité comme tel.

Par exemple, les vaches peuvent se servir de leur cornes pour ouvrir des portes, mais elles leurs sont enlevé à l’âge de 12 semaines. Ce sont aussi des mères attentionnées, mais leur enfant leur est enlevé de force après l’accouchement. Le veau est ensuite tué.

Les poules sont futées et ont des capacités de communication voisines de celles de certains primates. Quand elles prennent  des décisions, elles tiennent compte de leurs expériences et de leurs connaissances sur la situation. Elles peuvent résoudre des problèmes complexes et se montrer compatissante envers des individus en danger. On pourrait dire qu’elles sont presque autant de morale que l’Homme. Etc  etc.

10 000  espèces sont anéantis chaque années par l’action d’une seule, l’Homme.

Si c’était vous et moi à leur place, on appellerait ça une pandémie.

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