Bibliographie Gaston Bachelard
Fiche : Bibliographie Gaston Bachelard. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Garance Lbtr • 9 Janvier 2019 • Fiche • 303 Mots (2 Pages) • 803 Vues
BIBLIOGRAPHIE GASTON BACHELARD
Gaston Bachelard apparaît comme la figure emblématique majeure de l’épistémologie française.
Dans son travail, il consacre autant de temps à étudier les images et les métaphores de textes littéraires qu’à interroger les textes scientifiques sur leur philosophie.
En découle ainsi des œuvres diverses et variées :
- il élabore une théorie sur l’imagination poétique et une poétique de la rêverie en alliant psychanalyse et science comme dans La psychanalyse du feu (1938) où il propose une analyse de l’emprise psychologique du feu dans l’esprit humain. Plus tard, dans L’eau et les rêves (1942), il offre une méditation littéraire et psychologique d’après l’écoute de l’eau. Enfin L’air et les songes (1943) constitue un essai sur l’imagination du mouvement
-il s’intéresse également à la discontinuité du temps qu’il expose dans L’intuition de l’instant (1932) et La dialectique de la durée (1936).
-En tirant les leçons de son expérience de professeur de sciences physiques, il consacre une importante partie de son œuvre aux sciences.
En effet, Le nouvel esprit scientifique (1934) se présente comme une réflexion sur la nouveauté essentielle des sciences mathématiques et physiques du début du XXe siècle, en évoquant la géométrie non-euclidienne, théories de la relativité, mécanique ondulatoire et mécanique quantique, il invite à repenser les bases métaphysiques de la pensée scientifique.
En 1938, La Formation de l’esprit scientifique explore la dimension psychologique et pédagogique des leçons que l’on peut tirer des nouveautés scientifiques. Il développe dans cet ouvrage un ensemble de thèses sur l’idée de « rupture épistémologique ». Les sciences rompent avec la connaissance
Plus tard, il présente des analyses portant sur l’évolution de notions fondamentales de la physique et de la chimie dans La philosophie du non (1940), qu’il approfondira plus tard en tenant compte des développements des sciences dans Le rationalisme appliqué (1949) et L’activité rationaliste de la physique contemporaine (1951)
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