Descartes et la conscience

Bastien Dutilloy                               Philosophie                                                      TS1

Question 1 : La thèse défendue par Descartes dans le texte numéro un est le fait de réfléchir sur sa pensée est-il le réel reflet de ce qu’est notre pensée « Mais, aussitôt après, je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensait, fusse quelque chose ». La thèse défendue dans le second texte est que les corps et l’âme sont parfaitement liés « tellement confondu et mêlé que je compose comme un seul tout avec lui »

Question 2 : Le « cogito » est le fait de penser à la fois sur sa conscience mais aussi sur son existence.

Question 3 : Ce terme nous permet de comprendre le fonctionnement de la conscience car, nous ne pouvons jamais s’arrêter de penser, même quand nous étudions sa conscience nous sommes encore en train de penser.

Question 4 : Le doute hyperbolique est le fait d’accentuer le doute pour pouvoir analyser et comprendre totalement ce qui nous entoure et aussi ce que nous sommes personnellement. L’auteur arrive sur un résultat qu’est « Je pense donc je suis », c’est-à-dire que nous sommes ce que l’on est par ce que l’on pense, la conscience est donc notre vraie personne et ce qui nous démarque d’une autre.

Question 5 : Le rapport établi par Descartes est novateur car une conscience ne peut agir seule et donc à besoin d’un corps pour pouvoir être utilisable dans sa totalité.

Question 6 : Les liens établis par Descartes entre le fonctionnement de la conscience et le développement des sciences sont que la conscience nécessite du doute hyperbolique mais aussi de cogito afin de pouvoir être comprise comme pour le développement des sciences, il est nécessaire de penser et de remettre en question des phénomènes qui peuvent nous paraitres habituels mais qui ne sont que le fruit de phénomènes scientifiques, compris et démontrés par des recherches et des doutes mis en place.

Question 7 : « Je pense donc je suis » a pour conclusion que si nous pensons nous sommes alors totalement conscients cependant en nous il y a toujours une inconscience présente.

Question 8 : La définition cartésienne de la conscience nous a permit d’arriver sur la connaissance de la conscience que nous possédons aujourd’hui, de plus cette définition n’a toujours pas était remise en cause par un autre philosophe.  

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