Valoriser et aménager les milieux

Valoriser et aménager les milieux.

        L’historien Fernand Braudel disait que « La France se nomme diversité »il voulait dire par là que la France métropolitaines et ses territoires ultramarins présentent des milieux très variés. Ces milieux résultent d’une longue interaction entre les conditions naturelles et les interventions humaines exploitant leurs ressources.

        Quelles sont les milieux français et qu’offrent-ils aux population ? Comment la société se les approprie-t-elle (les aménage-t-elle) et tente-t-elle de les ménager ?

I- Étude de cas :       La régions Nouvelle Aquitaine.

        Les régions françaises ont fait l’objet d’un remaniement suite a une reforme territoriales mis en places en Janvier 2016, c’est la loi NOTRE.

La notions de régions renvoie a différentes réalité par exemple des régions de défense, pour des secteurs privée ou encore des régions administrative française.

        La régions Nouvelle Aquitaine a pris ce nom définitivement en 2017. Elle s’étend géographiquement sur le même espaces que l’Aquitaine médiéval d’Aliénor. La Nouvelle Aquitaine possède donc une unité historique qui justifie cette appellation. Elle s’étend sur trois anciennes régions et sur une douzaine de départements. Sa superficie est de 84 000 km ( c’est la plus vaste régions de France) pour une population de         6 millions ( Quatrième régions la plus peuplé). Le PIB régional(2012) est de 157 milliard d’euros (dont 90,7 milliards de l’Aquitaine). EN fin 2013 le chômage était autour de 9% pour les trois régions.

        La régions Nouvelle Aquitaine possède plusieurs potentialités qui peuvent donner des aménagements. Elle possède une forte diversité paysagère(plaine,montagne) cela favorise le tourisme vert de plus le littoral permet un tourisme de masse et balnéaire. La richesse pédologique et le climat océanique permettent l’existence d’une agriculture diversifié a forte valeur ajoutée (la viticulture) puis la présente foret dans les landes permet la sylviculture. La polyculture en revanche est souvent en difficulté, certains territoires font de l’élevage, l’océan constitue une potentialité (pèche) comme l’aquaculture enfin la présence de couloirs d’air permet l’implantation de parc éoliens. L’ensoleillement de plus de 2000 heures par an favorise une exploitation solaire.

II- Potentialités et contraintes du territoires français, ultramarin compris.

        A- La grande diversités des milieux constitue de fortes potentialités.

1- Des milieux variés :

On trouve en France une diversité de milieux, caractérisés par le climat comme par leur topographie  (relief) ou encore par la végétation. En effet en France métropolitaines et dans les DROM nous trouvons de nombreux milieux tels que de grands ensemble du relief avec des massifs montagneux, des plaines, des collines, des plateaux, de grande vallée fluviale ou dans des grands domaines climatiques des milieux océanique, continental, méditerranéen, montagnard ou encore tropical( Dans les DROM). La végétation offre une grande diversité en raison des différentes combinaisons climatiques et topographiques, en raison de la pédologie (diversité des sols). Enfin on distingue une diversité de paysages caractérisé par de nombreux espaces, des montagne enneigés l’hiver (doc 2 p°86), des montagnes du tourisme vert l’été (doc 3 p°87), des milieux océanique ( doc 3 p°93 et doc 2 p°85), des marais ( doc 1 p°97), des milieux agricoles (doc 3 p°150, doc 1 p°154 ou doc 4 p°55), des milieux tropicaux ( doc 3 p°228)

2- Des potentialités :

        En raison de cette diversité, la France possède de nombreuses ressources qui constituent des potentialités. Nous pouvons par exemple parler du littoral le long des cotes de la méditerrané ou de l’océan Atlantique qui permet le libre échange a l’international et un aménagement visé au tourisme balnéaire. Les massifs montagneux eux permettent un tourisme vert en été et blanc en hiver en effet de nombreux domaines skiable de rang mondiale y ont été construit. Il y a aussi des plaines, des collines et des plateaux qui permettent une agriculture diversifié nous avons alors la sylviculture, la viticulture, une culture de blé. De grandes vallées fluviales qui permettent l’acheminement des marchandises des ports du monde entier partout en France et dans de grande ville comme Paris.

        Les sociétés créent de nouvelles ressources naturelles, correspondant à de nouveaux besoins. Exemple : Avec le développement du tourisme, la neige, les pentes et l’hiver (autrefois la morte-saison) sont devenus des ressources pour les montagnes alors qu’elles n’étaient autrefois que des contraintes. Il en est de même pour les littoraux méditerranéens autrefois délaissés au profit de l’arrière-pays ; la sécheresse éstivale est devenue un atout touristique. Les paysages eux-mêmes sont désormais considérés comme une ressource que l’on cherche à mettre en valeur ou à préserver.

En revanche, la France ne possède quasiment plus de ressources non renouvelable. Le charbon, le minerai de fer, la potasse ne sont plus ou presque plus exploités à  cause de l’épuisement des réserves ou de leur non-rentabilité.

B- Des milieux aménagés afin de les valoriser et de maîtriser les contraintes. 

La contrainte est un frein au développement des sociétés. Elle peut être physique (relief,climat) ou socio-économique (pauvreté,dégradation environnementale).

L’aléa est un événement ayant pour origine un phénomène naturel, en opposition à un événement qui fait suite à une action humaine. 

Le risque est la probabilités qu’un ou plusieurs aléas affectent une société.

1- Des contraintes et des risques :

        Sur le territoire français métropolitain et ultramarin, hors des potentialités il y a aussi plusieurs contraintes qui sont dites naturelles comme des vallées soumises aux inondations, des zones avec des risques de tempête élevée, des zones à risque sismique et volcanique. Les risques naturelles existant en France sont très diverses en effet avec des risques climatiques comme les inondations littorale et fluviale ( Seine, Rhône, côte Atlantique...), des mouvements de terrain, des séismes, des avalanches ou encore de la sécheresse et des incendies. Tout ces risques sont aggravés par l’activité humaines par exemple le risque d’inondation est accentué par un étalement urbain présent dans les vallées et par un imperméabilisation des sols. Les risques technologique sont présent dans tous les espaces densément peuplé : vallée fluviale industrielles (comme dans la vallée de la Seine où 500 000 habitants cohabitent avec 12 sites Seveso dont la dangerosité est liée à des industries chimiques et énergétique). Parmi toute les zones à risques celles connaissant la plus grande vulnérabilité sont les territoires ultramarins en effet le risque cyclonique existe pour toutes les îles tropicales alors que les séismes et éruptions volcaniques menacent surtout les Antilles. Les îles polynésiennes sont les plus vulnérables du fait de leur faible altitude ( Pour les 2/3 elles ont un altitude du seulement 5 mètres au dessus du niveau de la mer.)

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