Médias en péril

20/12/2019

UNE PÉRIODE

DIFFICILE POUR

LES MÉDIAS

Depuis quelques mois, des mouvements sociaux secoue la France. Le mouvement des « gilets jaunes » prend de plus en plus d’ampleur notamment sur les réseaux sociaux. C’est dans cette situation qu’une fracture est en train de se créer. Les personnes participants à ce mouvement revendiquent en partie la place des médias dans la société. Sont-ils influencés et orientés par l’État ? La place de l’information par les médias est donc en danger.

Depuis l’essor des réseaux sociaux, ceux ci permettent un flux d’information permanent que chacun ou chacune poste et fais circuler. Le mouvement des gilets jaunes à pris beaucoup d’ampleur grâce au réseaux sociaux. Seulement, les informations affichées sur les réseaux sociaux ne sont pas toujours émis par des sources fiables et vérifiées. Certains disent ne plus avoir confiance en les médias traditionnels comme la presse, les journaux télévisés,… Les chaînes visées, BFM TV et France Télévision.

Plus de 90% des français déclarent s’informer (chiffres de l’agence française de la presse AFP). Deux tiers des français s’informent par le biais des réseaux sociaux. Dans cette période de tensions politiques menant à des tensions médiatiques, les sources d’informations se divisent. Des sources vont

soutenir le mouvement du peuple tandis que d’autres vont suivre l’État. C’est ce qu’accusent, dénoncent en partie les gilets jaunes. La question est maintenant : «  Où s’informer ? ».

Comme l’indique le documentaire de France 2 du 14 février 2019, les gilets jaunes ne font plus confiance aux médias qui, lors des manifestations se focalisent sur les actes de vandalismes produits par des casseurs ou certains gilets jaunes. Cela donne une image très péjorative aux manifestants. Les manifestants critiquent cette sélection des moments de violence qui passent en boucle sur les chaînes d’information. Depuis, les équipe gérant les prises de vues dans les manifestations se font soit exclure du cortège soit se font violenter par certains manifestants. C’est arrivé aux équipes de BFM TV qui sont désormais obligées de se camoufler parmi les manifestants.

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