Le Sahara terminale ES

Le Sahara : Ressources, conflits

Etude de cas p215 à p218

A) Un désert riche en ressources convoitées

1° Le désert saharien, plus grand désert du monde, va de l’atlantique à la mer rouge et sépare du nord au sud l’Afrique. Il offre de nombreuses caractéristiques climatiques qui sont : un climat désertique où il y a une température moyenne annuelle de 21°C. il y a aussi des isohyète qui sont des lignes reliant des points d'égales quantités de précipitations tombées en une période déterminée. Mais c’est un espace qui offre différentes ressources

2° Le désert saharien possède de grandes nappes souterraines, mais aussi des ressources extractibles comme le phosphate, les hydrocarbures, les minerais métalliques, et surtout du pétrole et de l’uranium ainsi que le tourisme.

3° Cette richesse est fragile car les avantages que présent le désert saharien est exploité par des FTN et les Etats étranger en essayer de passer des contrats avec les pays africains. Mais si les FTN n’en veulent plus, cette richesse va devenir fragile. Le Maghreb et le Machrek ont des infrastructures médiocres. A l’opposé, les Etat saharo-sahélien sont plus marqué par l’enclavement. L’insécurité limite le développement du tourisme.

B) Malgré les frontières, un espace de circulation

Actuellement, Sahara possède 7 millions d’habitants, d’où un développement de l’urbanisation, les villes s’étendent limite à constituer des réseaux urbains, donc des pôles de croissance se développe qui s’explique notamment par des échanges transsahariens. Les flux transsahariens sont migratoires, pour passer vers l’Europe, il y a aussi des flux de réfugiés. Ces flux partent du centre de l’Afrique afin d’aller vers le Nord de l’Afrique.

C) Un espace de multiples tensions et conflits

1° Il y a différentes sources de conflit au Sahara qui sont : le conflit entre les pays, mais aussi avec AQMI, d’uranium, de trafic d’arme est de drogue, le conflit avec les Touareg

2° les différents acteurs des conflits dans la région sont : les groupes armés se réclamant souvent avec une base islamique avec les trafics illégaux,

3° les espaces les plus vulnérables sont la zone d’activité d’AQMI, les frontières car il faut faire passer le trafic. Ce qui va nécessiter dans certaines zones une intervention étrangère.

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