L’accélération de la croissance urbaine

Depuis 25 ans le PIB mondial a été X2. On peut dire que la pauvreté a reculé mais ce recul reste inégal. En effet en Chine et en Inde la pauvreté a chuté tandis qu’en Afrique sub-saharienne elle a augmenté allant même jusqu’à créer une famine dans la corne de l’Afrique (2016-2017). On assiste à l’accroissement de 2 inégalités. La 1ière est au niveau international et la 2nd est à l’intérieur des états. Ojd les 5% des plus riches concentre 1/3 du revenu mondial. Les 85 personnes les plus riches concentrent la richesse de 3,5 milliards personnes vivant dans les pays pauvres. Exemple : au Etats Unis entre 1975 et 2015 le revenu moyen a augmenté de 42% et le revenu des plus riches a augmenté de 290%. Il y a donc une coexistence comme dans les pays émergents d’une extrême richesse et d’une extrême pauvreté. Ces inégalités sociales entrainent des inégalités spatiales entre les villes et les campagnes mais aussi à l’intérieur des villes. La pauvreté n’est pas que monétaire, elle concerne la condition de vie  c’est pour ça que l’IDH a été créé pour différencier les écarts Nord/Sud. Pour résoudre ces problèmes il y a l’OMD (Objectif du Millénaire pour le Dvlp). Le rôle de l’OMD était de divisé la pauvreté par 2 entre 1990 et 2015 mais cela s’est soldé par un échec.

Aujourd’hui le dvlp se caractérise par une surconsommation des produits, un gaspillage des produits et des ressources ainsi qu’une pollution massive de l’eau, de l’air, des sols qui impacte l’environnement et ainsi les individus (exemple : en France 3000 morts à cause de la pollution chaque années). Donc ce dvlp a un coût environnemental et social car la pollution cause une augmentation des dépenses de santé. Depuis une trentaine d’années nous sommes dans un monde où l’économie a été dérèglée et où 2 crises ont frappé en 1987 et 2007. De plus, depuis 2007 il y a une spéculation active sur les dangers de la nourriture de base (céréales) ce qui a entrainé une augmentation de leurs coûts et ainsi une révolution sociale. Cela explique le printemps arabe de 2011 où les gens se sont révoltés pour faire face aux hausses des prix de la nourriture de base.

Aujourd’hui, les évolutions de la consommation ont des conséquences sur les ressources, les sols, et l’environnement même si globalement la société commence a prendre conscience des limites de la planète.

Il y a 2 discours sur le sujet : 1/ Discours alarmiste : changement radical du mode de vie et de consommation. 2/ Discours optimiste : changement pondéré de nos modes de consommation et une meilleure gestion de l’exploitation des ressources.

Les objectifs de développement durable sont de satisfaire les besoins actuels sans compromettre la satisfaction des besoins futurs.

3 facteurs sont choisis :

- Environnemental : gestion des ressources ;

- Social : réduire les inégalités ;

- Economique : assurer une croissance soutenue ;

L’application des objectifs du développement durable implique un changement radical des mentalités mais pour l’instant le développement durable semble plutôt être (surtout pour les grosses entreprises) un outil communication qu’une réelle

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