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La vie en Nouvelle-France

Discours : La vie en Nouvelle-France. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  26 Juillet 2020  •  Discours  •  935 Mots (4 Pages)  •  477 Vues

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Les textes de Gilles Hocquart et de Pehr Kalm qui décrivent la vie des colons de la Nouvelle-France, on déduit que l’habitant de cette région était effectivement d’un esprit libre, indépendant et peu soucieux des conventions.

Pour montrer cette image, tous d’abord, nous allons voir en quoi les arguments développés par les auteurs tentent de démontrer que l’habitant est peu soucieux des conventions et un esprit plutôt libre.

Deuxièmement, on va essayer de prouver que ces arguments confirment réellement ce qu’on a avancé. À la fin, nous verrons l’influence des enjeux de l’époque sur la liberté de l’habitant canadien.

En arrivant en Nouvelle-France, les nouveaux colons ont été obligés de s’adapter avec les conditions difficiles de cette région.

Cette nécessité de s’adapter montre que les colons ont fait preuve d’initiative et de débrouillardise. Ils font leurs outils, construisent leurs maisons et nourrissent leurs familles. Ils ne font pas le même métier continuellement, ce qui les rend plus libres dans leurs choix quotidiens.

En parlant du caractère de l’habitant, les arguments suivants soutiennent l’idée que l’habitant de la Nouvelle-France est un esprit libre : ‘Communément assez souples lorsqu’on les pique d’honneur, et qu’on les gouverne avec justice, mais ils sont naturellement indociles (…)’ L’auteur précise que les habitants sont naturellement rebelles et qu’ils peuvent facilement se révolter vu leur tempérament dissipe. D’ailleurs, ils ont un rapport très particulier à l’autorité puisqu’ils ont tendance à ne pas se contraindre aux règles : ‘On ose dire que le manque de fermeté dans les gouvernements passes a beaucoup nui à la subordination.’ Mais ces débordements en tout de même étaient règles et on remarque que les habitants sont moins tentes d’être indisciplinées. ‘ Depuis plusieurs années les crimes ont été punis ; les désordres ont été réprimés par des châtiments proposions ; la police par rapport au chemin public, au cabaret, etc., a été mieux observée , et en général les habitants ont été plus contenus qu’ils ne l’étaient autrefois. Ils ne sont pas si libres, car ils sont faciles à maitriser et ils sont très dévoués à leur religion. ‘Tous sont attachés à leur religion’.  Les femmes ne s’habillent que le dimanche pour aller à l’église. La religion est très présente de leur vie et leur éducation, mais cette dernière est réduite à son minimum. ‘ Toute l’éducation que reçoivent la plupart des enfants d’officiers et des gentilshommes se borne a très peu de choses ; à peine savent-ils lire et écrire ; ils ignorent les premiers éléments de la géographie, de l’histoire ‘. Leur ignorance de leur permis pas de s’affranchir d’une pense dite ‘ obligatoire’. Leur penses sont très influencés par le clergé. Ils ne sont pas libres de leurs propres réflexions et sont donc dépendants puisque peu éduqués.

 ‘  Pahr Kalm, en revanche, vois que les habitants sont malgré tout’ bien élevés’. Elles ont un laisser-aller, qui charme par son innocence même et prévient en leur faveur’. Ce laisser-aller montre au lecteur que les habitantes sont libres dans leurs choix et quelles négligentes avec elles-mêmes et insubordonnées. Elles sont moins préoccupées par les conventions sociales. Par exemple, leurs vestimentaires peuvent être négligées. ‘ Elles s’habillent beaucoup le dimanche, mais les autres jours, elles s’occupent assez peu de leur toilette.’

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