La guerre d'Algérie

Durant la guerre d'Algérie de 1954 à 1962, l'État français cherche à minimiser le conflit. Suite à l'indépendance, le FLN qui prend le pouvoir en Algérie institue une histoire officielle du conflit dans laquelle sont divisés les nationalistes et les Kabyles. En France, les acteurs du conflit (les soldats, les pied-noir rapatriés, les harkis) se taisent à propos du conflit. Le silence concerne aussi l'État qui ne reconnaît pas la guerre. Pourtant, les différents acteurs du conflit entretiennent des mémoires différentes de la guerre. Après le silence vient la période durant laquelle les mémoires surgissent. Les différents groupes portent leurs revendications et souhaitent faire reconnaître leur vision de l'histoire. Le document 1 explique la vision de la France sur la guerre d’Algérie, c’est un entretien avec l’historien B Stora qui provient du magazine l’express et a été publié le 20 décembre 2012. Le document 2 est un extrait d’un journal algérien (donc de la vision algérienne) nommé El watan et publié le 31 mars 2019. Le document 3 est aussi un article. IL est écrit par Jean Luc Crozel en 2019 pour montrer que les choses avancent avec la création d’un conservatoire pour la mémoire de l’Algérie française. Le document 4 est une preuve que la fin de la guerre n’est pas celle espérée pour les Algériens. Ceci est exprimé par Mohand Hamoumou en 2017. Le document 5 est composé de deux photos : une couverture de mémoire et une photo d’une manifestation. Le document 6 est le témoignage de Djamila Boupacha le 2 juin 1960. Enfin, le document è est un extrait d’une revue sur la guerre des mémoires écrite en 2011 ;

Pourquoi les mémoires de la guerre d’Algérie sont conflictuelles ?

Premièrement nous allons voir que les mémoires peuvent être conflictuelles par cause d’affrontement entre deux points de vue différents.

Enfin nous identifierons des facteurs d’embrasement et d’apaisement de ces mémoires grâce à plusieurs rassemblements et manifestations.

La guerre d’Algerie est un événement qui a eu peu de mémoires dans l’histoire, peu de films, peu de commémorations officielle de fin de guerre etc.. cependant dans le document 3 il est stipulés que les algériens avaient eu l’impression d’être oublié dans l’histoire étudiée à l’école. En effet, certains (comme messali Hadj) ont été gommés de la mémoire officielle alors qu’ils étaient grands acteurs dans cet événement(doc 2) De ceci nait de nombreuses associations algériennes composées d’anciens combattants ayant pour but de commémorer la fin de la guerre (doc 4)

De nombreuses personnes participants a ces associations sont devenu des icônes contres les violences exercées envers les algériens. Comme l’explique le document 5, Djamila s’est fait séquestré et violentee dans un centre de tri. Un procès a eu lieu pour juger sur les circonstances des crimes.

Cette guerre de revendications envers la mémoire des algériens est appelée guerre de mémoire car chaque groupe souhaite avoir une place dans l’histoire de France(doc 7)

Cependant cette mémoire a été, après un combat sans fin, réintégrée dans l’histoire de France. Pour réussir à ceci, de nombreux historiens ont écrit

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