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Faut-il restaurer Notre Dame de Paris à l'identique ?

Étude de cas : Faut-il restaurer Notre Dame de Paris à l'identique ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  19 Novembre 2021  •  Étude de cas  •  831 Mots (4 Pages)  •  1 319 Vues

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HGGSP : Faut-il restaurer Notre Dame de Paris à l'identique ? 

Thème sur le patrimoine

La cathédrale Notre Dame de Paris est le lieu de plus visité de France, elle a vu sa construction débuter en 1160 et s’est terminé en 1245 puis elle a été restauré de 1845 à 1864. En 2018, des travaux de charpente ont été engagés mais malheureusement un terrible accident qui a touché la population française et le monde entier s’est produit. Le 15 et 16 avril 2019 débute un incendie, cela fait tomber la flèche de Violet-Le-Duc, de 96 mètres entièrement faite de bois. Nous nous demandons aujourd’hui si il faut restaurer Notre Dame de Paris à l’identique ou non ? Pour cela nous dirons dans un premier temps que cela est une histoire d’identification et enfin nous verrons que l’on parle d’une question technique. J’ai décidé de vous parler de ce sujet suite à un passage récent dans la ville de Paris et voir cette cathédrale m’a interpelé.

        I) Une histoire d'identification

La question que nous posons et de savoir s’il faut reconstruire la charpente et la flèche de la cathédrale à l’identique, avec d’autres techniques de constructions ou s’il faut laisser place au contemporain. Certains proposent de construire la flèche en verre pour rappeler la pyramide du Louvre ou de faire une construction faite de vitraux…

Notre Dame est connu et identifiée par sa flèche et sa charpente faite entièrement de bois, c’est la raison pour la quelle beaucoup s’oppose à une reconstruction différente de celle d’avant.

Une structure métallique pour solidifier l’édifice ne se verrait pas mais se saura et sera une déception dans l’âme des français sur la fierté de cette cathédrale depuis tout ce temps. D’après les journalistes du journal Le Parisien, sur ce monument, même les choses qui ne se voient pas méritent d’être restitués.

Les parisiens parlent d’une peur de la perte de l’âme de la cathédrale Notre Dame de Paris si l’on ne la reconstruit pas à l’identique.

Le but étant qu’après cette fin de reconstruction, la flèche de Violet-Le-Duc ne soit pas datable.

De plus Marie Parant, restauratrice des peintures murale retrouve déjà des chef-d’œuvre en nettoyant.  

        II) Une question technique

Premièrement les confinements ont beaucoup retardé les projets et travaux. Cette reconstruction est un chantier colossale et l’objectif donné par le Président de la République Emmanuel Macron est une durée de travaux maximum de 5 ans pour permettre la réouverture au publique en 2024. Or Jean-Michel de Willemote dit qu’il est impossible de reconstruire la cathédrale à l’identique si on ne veut pas un chantier qui s’éternise sur des dizaines d’années.

Il faut dans un premier temps retirer les échafaudages soudés par la chaleur de l’incendie puis ensuite reconstruire la charpente et la flèche de 96 mètres entièrement en bois. Cela signifie de couper une forêt, faire sécher le bois et enfin le tailler. Cela pourrait être possible mais très long, cela ne pourrait pas prendre 5 ans d’après lui.

Une Autre question se pose, celle du probable affaiblissement de la structure suite à l’incendie. Il est probable que les flamme est endommagées la charpente et qu’une simple structure en bois ne suffirait plus pour tenir puisque les voutes ont perdu 2cm d’épaisseur sur 13 cm. Mais après des études et des capteurs placés sur les voutes, nous pouvons affirmer la sécurité des voutes qui n’ont pas bougées même avec les dernières tempêtes.

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