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Dissertation sur le cinéma

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Par   •  23 Novembre 2020  •  Cours  •  3 159 Mots (13 Pages)  •  1 917 Vues

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« Le cinéma est un mélange parfait de vérité et de spectacle »

François Truffaut est un réalisateur et auteur français. Selon lui «le cinéma est un mélange parfait de vérité et de spectacle ». Le cinéma est aujourd'hui un moyen de se divertir, de s'évader. En effet, il offre différentes perspectives et interprétations du monde qui nous entoure, permettant aux téléspectateurs de s'immerger dans la vie ou l'histoire des autres. Chaque film en tout cas la majorité d'entre eux,attire un certain type de public, et chaque public a des émotions différentes, ce qui permet de traiter un nombre illimité de thèmes et de diffuser des genres tels que la tragédie ou la comédie. Le cinéma apporte un message qui touchera certainement le public, mais qui ne représente pas toujours la réalité et la vérité. Ensuite, on peut penser que le cinéma a deux objectifs: le but des caméras passives est de percevoir le mouvement et la lumière ; et le point de vue du réalisateur qui veut transmettre sa connaissance ou son interprétation personnelle du sujet à révéler à partir des faits ou des concepts des choses.La question qui bordera notre analyse sera de savoir en quoi le cinéma peut il mélanger la fiction et la réalité. Pour y répondre, d'abord, nous verrons en quoi le cinéma représente une réalité, ensuite en quoi il représente une fiction et pour finir le lien qu'entretiennent réalité et spectacle.

La réalité est caractérisée par ce qui existe vraiment. La fiction est une pure création de l'imagination. Bien que distinct, réalité et fiction peuvent parfois se mélanger et donner des chefs d’œuvres du cinéma. Une réalité fictionnelle existe bel et bien dans la réalité.

La fiction pose des problèmes d'organisation et d'agencement des documentaires face à la réalité ont longtemps été découverts par les réalisateurs de documentaires et les réalisateurs de leurs sous-catégories. Si ces particularités nous intéressent beaucoup, il s'agit alors d'une tentative de faire face à l'évolution de ces œuvres, des films amateurs aux tentatives documentaires et aux réponses à la mise en forme très réelle.D'une part, le protagoniste essaie de percevoir et d'essayer de capturer (la vérité qui a d'abord été découverte puis révélée), d'autre part est le noyau du dispositif fictif et du processus de découverte (c'est-à-dire la possession de la vérité qui doit être découverte puis préservée). Une double exigence est établie, à savoir le public mondial à l'intérieur du film et le public à l'extérieur du film. Si vous le mettez dans le collimateur des tentatives documentaires, en plus du codage direct du cinéma, c'est parce que son rôle dans le domaine de la fiction est principalement de nous permettre de reconsidérer les films que les cinémas peuvent fournir ou fournir. Plutôt que la réalité, c'est comme connaître la précision qu'il applique. En ce sens, ce documentaire est la profession la plus controversée, impliquant à la fois des questions liées à la nature du film et des œuvres de référence. Mais de ce point de vue, la différence entre les films de fiction et les films documentaires ne réside pas dans la capacité du texte à répondre à l'authenticité des objets auxquels ils se réfèrent, mais dans le modèle de discours développé et le contrat de lecture établi avec le public. À part cela, on voit que les deux formes se confondent, et le texte montre clairement des intentions qui vont à l'encontre de ses capacités (y compris le protagoniste joué par lui et l'objectif découvert par son utilisation). À titre d'exemple, François Truffaut a réalisé un film en 1966 « FAHRENHEIT 451 ».Dans un pays incertain, et une date inconnue, ou la lecture est interdite personne n'est heureux . La seule tâche des pompiers est de retrouver ceux qui ont des livres et de réduire ces articles en cendres. Le pompier passionné et Guy Montag de la Civil Respect Agency ont rencontré un jeune enseignant, Clarisse, qui lui a fait douter de sa fonction. Peu à peu, il a été attiré par son amour des livres. Ce film est totalement fictionnelle, un monde dans lequel ceci se passerait a déjà existé. En effet lors de la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont brûler des livres sacrés (autodafés). On assiste dans ce film à une sorte de dictature anti lecture.

Il existe également à travers les films, une volonté des cinéastes, et réalisateurs de montrer aux téléspectateurs la réalité sociale des personnages qui représentent la société.

Pour de nombreux auteurs, il est naturel que les films fournissent des informations sociales naturelles. Pour de nombreux auteurs, il est naturel que les films fournissent des informations sociales naturelles. Dans certains cas, la « société » est résumée comme un tout vague, qui sera saisi dans le versant vague. Par conséquent, il représente généreusement des films qui représentent des sociétés lointaines. Et nous sommes encore moins disposés à trouver une véritable description de la société dans laquelle nous vivons au cinéma. En effet, lorsqu'on étudie une société lointaine, on ne s'intéresse pas à l'identification des caractéristiques de base de sa structure, mais aux différences majeures (même dans les détails) liées à l'univers. Familier. Pour les Français, les agriculteurs vêtus de fourrures et dansant dans le paysage montagneux sont un symbole suffisant du Tyrol. L'enregistrement des différences donne un nouveau sens aux faits secondaires ou cache leur ambiguïté fondamentale. Selon un point de vue apparemment opposé, la compréhension par les gens de la qualité des « problèmes sociaux » est restrictive. Le "film social" traitera de certaines questions, généralement celles qui sont subverties par la conscience officielle : chômage, racisme, colonialisme, etc. Cependant, ici encore, des termes tels que « chômage » et « racisme » (comme le terme « Tyrol » dans le cas précédent) s'entendent comme les signes dits adéquats d'une totalité bien définie. Dans les deux cas, cela peut être compris comme « tout le monde sait ce qu'est la société », il n'est donc pas nécessaire de la définir. Dans les deux cas, il s'agit de la conceptualisation préalable (et verbale) de la société. Ce film ne doit jouer que le rôle de diffusion de l'idéologie ou des connaissances établies. En d'autres termes, le problème ici est le niveau d'efficacité et non d'efficience. Selon le film de François Truffaut

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