Dissertation sur la 1 ère GM
Dissertation : Dissertation sur la 1 ère GM. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar steph23 • 29 Janvier 2017 • Dissertation • 1 118 Mots (5 Pages) • 705 Vues
Les combats de la 1 ère Guerre Mondiale ont été d'une brutalité extrême, traumatisant les corps comme les esprits de soldats soumis.
La 1 ère Guerre Mondiale se déroule par 3 phases différentes : par une Guerre de mouvement qui débute du 3 août 1914 et qui se termine en automne 1914, par une Guerre de position qui commence à la fin de l'année 1914 début 1918 ou aussi appelé guerre des tranchées. La dernière phase est une phase de mouvements qui débute de 1918 au 11 novembre 1918. Dans ce conflit il est intéressant de parler de « l’expérience combattante » comment les soldats ont-ils vécus, dans quel conditions de vie étaient-ils, les armes, physiquement et mentalement. Nous avons pu remarquer tout ça dans un long dimanche de fiançailles en 2004, un extrait que nous avons vu en classe. C'est pour cela que nous pouvons évoquer la problématique suivante : Qu'elles épreuves les combattants ont-ils endurés au cour d'un conflit effroyablement violent et meurtrier ?
Tout d'abord, il est important de présenter les conditions de vie extrêmes des soldats, ensuite il faut insister sur la violence des combats. Enfin, il est important de rappeler combien c'est une expérience combattante traumatisante.
Les conditions de vie des soldats sont extrêmes. En effet nous pouvons le constater car ils sont loin de leurs famille, les permissions sont rares et l'attente interminable. Le courrier qu'ils reçoivent et qu'ils écrivent, malgré la veille de la censure revêt dans un contexte une grande importance pur les combattants. Si le ravitaillement des soldats est assuré par des cuisines placées à l’arrière des lignes de tranchées, la nourriture est souvent de piètre qualité et les rations insuffisante. Cependant les poilus vivent dans des conditions très difficiles souffrant du froid, des intempéries , des bombardements des adversaires mais aussi des rats et des poux. Mais l'hygiène des combattants est épouvantable et leur quotidien effroyablement. De plus d'après « la mémoire de Noble Lee Sissle », il nous dit que « une franche camaraderie s'était installé entre eux et leur collègues français. Les sous officiers et les officiers traitèrent les garçons avec toute la courtoisie et la camaraderie que l'on pouvait attendre ». L'épuisement physique des combattants est une donnée majeur de l’expérience combattant. En effet, ceux-ci doivent effectuer de longues marches avant d'atteindre leur tranchée. Une fois sur place, en raison de la domination de la défense sur l'attaque, la durée des combats est très longue. Après le combat les combattants étaient tellement épuisés qu'ils dormaient à même la tranchée qu'ils venaient de creuser.
La violence des combats était une violence inédite. Des corps abandonnées ou déchiquetés se multiplient sur le champ de bataille et leur identification s'avère souvent problématique. De plus, les cimetière militaires, se multiplient à l’arrière, comportent de nombreux ossuaires de ceux qui n'ont pas été reconnus, témoignant de la violence infligée aux hommes dont les cadavres restent parfois plusieurs jours exposés sur le champ de bataille. Les blessés le sont souvent à vie, un bon nombres d'hommes sont défigurés par l'artillerie ( les « gueules cassées » ) et les gaz comme l'ypérite ( dit aussi « gaz moutarde », le plus redouté ) fragilisent définitivement les poumons. Après la phase de préparation d'artillerie
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