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Biographie de Olympe De Gouges

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Par   •  15 Novembre 2020  •  Synthèse  •  1 144 Mots (5 Pages)  •  620 Vues

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Biographie de Olympe De Gouges

(écrit à la première personne)

Cher journal, je me présente, je me prénomme Marie Gouve de mon nom de naissance mais l’on me connaît sous le nom de Olympe de gouges. Je vais, dans ce cahier, raconter l’histoire de ma vie car demain le 3 novembre 1793, je vais être guillotinée. Je suis née le 7 mai 1748. à Montauban, ma mère, Anne Olympe mouisset fut élevée dans une famille de marchands drapiers et mon père lui était maître boucher parmi les bourgeois. Tous deux se sont mariés en 1737 et m’ont eu onze ans plus tard. À l’age de 17 ans, en 1765, je me suis vu forcée d’épouser un bon client de mon père, Louis-Yves Aubry. Cet homme, manquant de vivacité d’esprit fut emporté un an plus tard par une crue du Tarn. Mon premier mari me laissa donc veuve avec mon fils Pierre née en 1765 ainsi qu’avec ma liberté de publication. Après le décès de celui-ci, je décidai d’habiter à Paris afin d’y rejoindre ma sœur, vers les années 70.

La rencontre avec  Jacques Biétrix de Rozières me permit de vivre une vie d’aristocrate à la cour et de faire la rencontre de nombreux hommes de lettres. Suite à ses différentes rencontres et principalement celle du dramaturge Jean-Jacques Lefranc de Pompignan, je décidai à mon tour de m’essayer à l’écriture. Malgré ma réputation de courtisane, je montai ma propre troupe de théâtre en y choisissant les costumes et les acteurs. Mon petit théâtre fut racheter par la suite par le marquis de la Maisonfort en 1787, il garda une partie de ma troupe d’acteurs dont Pierre, mon cher fils. Je réussis à m’inscrire au répertoire de la comédie française le 30 juin 1785 grâce à une pièce connue sous le nom de Zamore et Mirza, ou L’heureux naufrage. Cette pièce, ma foi, très audacieuse eu pour but de dénoncer la condition des noirs ainsi que l’esclavagisme. A cause de plusieurs opposants et possesseurs d’esclaves, ma pièce a bien failli tomber aux oubliettes sans oublier les nombreuses menaces de mort et intimidations cependant je reçus de nombreuses aides comme celle de celle du chevalier Michel de Cubières proche de la famille royale.

Peu de temps après je parus en 1788, un texte, comme à mon habitude, dénonciateur sur la question coloniale. Ce texte se nomma réflexion sur les hommes nègres. Quand la révolution Française apparut, je publiai deux brochures politiquement engagées afin d’y proposer mes idées et conseils. En effet, au sein de ces différentes brochures je proposai des réformes sociétales et sociales et je défendais également la monarchie constitutionnelle. De plus, je décidai également de contester le droit de vote possédé seulement par la noblesse. Je destinais ses brochures aux représentants des trois premières législatures de la Révolution, aux Clubs patriotiques et à diverses personnalités dont Mirabeau, La Fayette et Necker que j’admirai particulièrement. Au début des différents conflits politiques entre les girondins et les montagnards je pris par pour plusieurs partis poussée par mes amitiés et relations, je deviens républicaine en 1792 avec la société d’Auteuil. Malgré cela, en mars 1793 je décidai de rallier les forces au nom de la république lors d’une convention à Paris : « Montagne, Plaine, Rolandistes, Brissotins, Buzotins, Girondistes, Robespierrots, Maratistes, disparaissez épithètes infâmes ! Disparaissez à jamais et que les noms de législateurs vous remplacent pour le bonheur du peuple, pour la tranquillité sociale et pour le triomphe de la patrie. ».

La

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