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Analyse sur la Mer d’Aral le problème

Analyse sectorielle : Analyse sur la Mer d’Aral le problème. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  26 Août 2016  •  Analyse sectorielle  •  478 Mots (2 Pages)  •  1 107 Vues

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Dans cette analyse sur la Mer d’Aral le problème est d’expliquer le fait que dans le cas de la Mer d’Aral, les ressources en eau ont été gérées de manière catastrophique par un projet qui n’a pas pris en compte les risques. Pour cela nous allons nous appuyer sur les deux documents du livre. Le premier nous indique que la ressource hydrique est plutôt importante dans le bassin mais qu’elle est circonscrite dans l’espace désertique. Le deuxième document dénonce les conséquences catastrophique du à ce projet de gestion d’eau mal étudié et ses répercussions sur l’économie, l’environnement et les conditions de vies dans cette région. Ces deux documents sont des documents sources car ce sont des extraits identiques des articles originaux du cahier d’Asie centre et du magazine « pour la science ».

En 1937 avant cette catastrophe, l’Union soviétique, soucieux d’augmenter non seulement sa production agricoles à des fins alimentaires et industrielles, mais aussi ses revenus d’exportation sont devenu un exportateur de coton.

En une décennie, l’agriculture a été mécanisée en Ouzbékistan et Turkménistan afin d’augmenter les productions de cultures fortement consommatrices d’eau. L’eau dans la région, comme dans tous les écosystèmes secs, est le facteur limitant.

Entre 1946-1959 les travaux de modernisation de l’agriculture en Asie centrale ont connu essor important. Staline rêvait de mettre en valeur les grands fleuves de l’URSS pour l’industrialisation et le développement agricole.

Les ingénieurs soviétiques se sont lancés dans un vaste programme de construction de barrage et de canaux. En 1950, le Soviet suprême a pris la décision de construire de grands canaux pour irriguer la région.

En 1954, Khrouchtchev lançait le plan de mise en valeur des terres nouvelles. Il s’agissait d’accélérer l’accroissement de la production agricole soviétique, notamment celle du coton stratégique et rentable pour l’URSS. En 1970, en URSS, les espaces inondés par des réservoirs excédaient de beaucoup le plus haut barrage du monde, le barrage Turek, avec ses 300m, était achevé en 1980 en Tadjikistan. Entre 1965 et 1986, le surface des parcelles irriguées accrue un rythme annuel moyen de 2.1%.

Alors que les surfaces irriguées dans le bassin d’Aral croissaient de 5.8 à 9.1million d’hectares, les taux d’utilisation de l’eau ont doublé. D’autres canaux furent construits, destinés à répartir à travers l’Asie Centrale soviétique une quantité croissante de l’eau des fleuves. Mais cette eau, dont d’énormes quantités étaient gaspillées par simple évaporation, ne revenait pratiquement jamais à la mer.

En 1950, 50km3 à 9km3. Pour répondre à la problématique qui est de montrer que dans le cas de la mer d’Aral, la ressource en eau a été gérée de manière catastrophique par un projet qui n’a pas pris en compte les risques nous allons d’abord nous intéresser aux ressources en eau douce de la région. Puis nous expliquerons le projet d’aménagement et ses objectifs. Puis finalement nous développerons les conséquences du projet en termes de développement durable.

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