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Voyage au bout de la nuit, Céline

Commentaire de texte : Voyage au bout de la nuit, Céline. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Mai 2020  •  Commentaire de texte  •  1 006 Mots (5 Pages)  •  562 Vues

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« Faire rentrer le plus de vrai possible dans la création littéraire » cette citation de Champfleury, un auteur du XIXe siècle, résume bien le genre littéraire actuel de cette époque: le réalisme. Ce genre apparu au XIX e siècle et à pour but de s’opposé au romantisme. En effet le réalisme est censé montrer la dure réalité de la vie et le romantisme, au contraire fait passer les sentiments avant la raison. Le réalisme s’étendra surtout en Europe et en Amérique, pour montrer la dure vie des ouvriers pendant la Révolution industrielle. Louis-Ferdinand Destouches plus connu sous son surnom : Céline, est un exemple d’auteur réaliste, grâce à son livre Voyage au bout de la nuit, publier en 1932, permet à Céline de recevoir le prix Renaudot. On peut alors se demander, comment Céline introduit le réalisme dans son ouvrage Voyage au bout de la nuit. Premièrement nous allons argumenter sur le style d’écriture utilisé dans l’œuvre et ensuite nous verrons le sujet exprimé dans le texte de Céline.

Tout d’abord, dans le texte, nous pouvons directement remarquer l’utilisation d’un langage familier et inapproprié à la littérature en générale : « s’engueule », « chiottes », « banlieue », e qui nous montre à travers ces mots, la dure réalité de l’époque et nous montre que l’auteur n’a pas essayé d’utilisé des mots moins vulgaire, pour ainsi crée plus d’impact pour le lecteur. Céline utilise un vocabulaire normalement adapté pour le langage oral, en effet des phrases courtes comme: « C’est pas donné » ou encore « Faut voir ça » accentue le côté impactant, droit au but et le langage familier qu’il utilise tout au long de ce texte. « content de s’y rendre au boulot », on peut interprété cette phrase comme une antithèse. En effet, la racine étymologique du mots travaille provient du latin « trepalium » qui était un appareil de torture. Le travaille est donc considéré comme action suscitant un effort qui provoque la plupart du temps des douleurs physique et morales. Ainsi, on peut croire que l’auteur trouve impossible d’être « content » d’aller au travaille, ce qui accentue le coté réaliste de l’œuvre. Céline utilise des métaphore comme : « le courage des crabes » et

De plus, le texte nous décris un atmosphère mettant à l’épreuve certain sens : l’odorat « on pue pendant dix ans, vingt ans et d’avantage » gradation hyperbolique accentuant le coté repoussant, en effet cela nous donne une vison de « Détroit » assez péjorative, nous pouvon ajouter que le détroit du latin « districtus », adjectivation du participe passé du verbe « distringere » qui veut dire maintenir a distance. Ensuite la vision « voir tous s’enfuir de ce coté-là »l’auteur utilise le verbe s’enfuir amenant une fois de plus le coté repoussant ,puis le toucher «  comprimé » décrivant un espace clôt sans sortie et sans pouvoir de fuite. On pourrai croire que les habitants par la cause de faibles moyens financier sont emprisonner dans leur ville : « d'en sortir jamais plus » ou encore « Les maisons vous possèdent » accentuant la dépendance des personnes y habitant pour leur maison. « La lumière du ciel à Rancy, c'est

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