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Voyage au bout de la nuit, Céline.

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Par   •  26 Avril 2016  •  Fiche  •  971 Mots (4 Pages)  •  1 424 Vues

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Voyage au bout de la nuit, Céline

p.7-27

Tout commence à Paris, Place Clichy, un jour de grande chaleur, à la veille de la première guerre mondiale. Le héros, Louis Ferdinand Bardamu, 20 ans et étudiant en médecine, boit un verre sur une terrasse avec son ami Arthur Ganate. Ils débattent de différents sujets donc la politique, les races, les classes sociales, et surtout la guerre.

Un régiment passe devant les deux amis, la foule acclame les soldats. Ferdinand dans un élan patriotique se lève et les suit, et laisse son ami sur place. Les gens lancent des fleurs et acclame les militaires à leur passage. Puis au fur et à mesure tout devient plus calme l’effervescence se dissipe, il se met à pleuvoir, Ferdinand veut rebrousser chemin mais il est déjà trop tard, les portes se referment, il s’engage.

Deux mois plus tard, il se trouve sur le champ de bataille, son régiment essuie des tirs, deux allemands font pleuvoir une pluie de balles sur le régiment français. Ferdinand décrit la scène, il doute, il ne se sent pas courageux et ne comprends pas cette guerre. Son colonel qui est à coté est debout fier et courageux, il ne bouge pas alors que les balles sifflent autour de lui. Un cavalier lui apporte une lettre qui annonce qu’un supérieur vient d’être tué mais le colonel s’en moque et détourne le sujet en demandant quand viendra la ration de pain. Ferdinand lui est heureux de la nouvelle car il n’aimait pas ce supérieur. Soudain un bruit assourdissant retentit, un obus vient d’éclater, Ferdinand décrit cette scène macabre, de manière détaché presque drôle. Il est le seul à en sortir indemne.

p. 28-30

Ils sont tous très fatigués. Les cavaliers de son escorte parlent mal, ils ne sont pas instruits. Autour d’eux beaucoup de villages brulent, et ils se mettent à l’écart pour les observer et roupiller. Pour Bardamu c’est ga, et cela les fait se sentir moins seuls. Seulement, au bout d’un mois, il n’y a plus aucun village a bruler et les forets de même. Le général ne leur trouve plus de campements sans soldats. La nuit, ils se couchent donc tous dans les champs C’est à partir de ce moment-là, que ceux qui avaient un peu de cœur le perde. Dès lors, ils ont commencé à fusiller des hommes des troupiers pour motiver les troupes. Le gendarme est cité à l’ordre du jour pour faire régner la discipline.

P. 31

Ils repartent vers le nord. L’hivers commence à se manifester. Ils gradent toujpours leurs fusils avec eux mais ne rencontrent pas beaucoup d’allemands. Un jour, un lieutenant de Saint-Engence annonce fièrement qu’il a sabré un homme. Son capitaine, Ortolan, le félicite et vante son acte. Alors le capitaine ordonne qu’il y ait une nouvelle reconnaissance du côteé d’oû l’homme a été tué, et c’est Bardamu qui y est envoyé. On apprend que le capitaine Ortolan prend de la cocaine, et qu’il était ainsi infatiguable. Il parait frele, mais il est cruel., selon Bardamu, il contribuait avec la mort.

La grêle du mois d’octobre prend la place aux acalmis d’été.Les orages sont plus dense.  Ils arrivent à dénicher dans la nuit des temps de paix mais bientôt elles aussi devinrent traquées sans merci. C’était très dur pour eux, car ils devaient rester eveiller.  Ils fallaient aussi aller chercher la nourriture aux lignes d’avant-gardes, puis la ramener au campement puis traverser le village, de granges em granges, pleins de traquenards et de fous. Après cela ils doivent retrouvé la nourriture qu’ils ont laissé un peu partout.Tout ce qu’ils trouvent dans l villages ils prennent. Bardamu parait calme, car il sait qu’il est lâche et il inspire une confiance a soncapitaine. Ortolan décide alors de lui confier une mission, celle d’aller a Noirceur-sur-la-Lys et devait s’assurer qu’auncun ennemi y était campé. Il est presque heureux d’y aller car il est enfin une fois seul, c’est une sorte de délivrance pour lui. Cependant il sait que c’est une mission suicide et il a l’espoir d’être fait prisonnier. En chemin il s’arrete à un maison où il y a une lumière, et va frapper. C’est un sentiment desertueux qui apparait au fond de lui. C’est une femme qui lui répond, il leur demande s’ils n’ont pas de l’alcool, une bouteille de vin. Au début la femme est réticente à lui en donner, puis elle lui en vend pour 5 francs. Il essaye de paraitre courageux en leiur annoncant qu’il allait aller voir les Allemands. Une fois parvenu a Noirceur-sur-le-Lys, il remarque que tout est éclairé. Il décide d’y entre car il pense que les Allemands ne sont toujours pas là. Soudain il aprcoit un homme et il l’interpelle. C’est aussi un francais mais un réserviste. Celui-ci s’appelle Robinson, il lui annonce qu’il veut se faire capturer par les Allemands. Il est du même avis que Bardamu, les Allemands ne lui ont rien fait, et il a peur.  Ils décident d’y aller, et dans la ville ils marchent furtivement. Ils vont sonner à un batiemnt totalement éclairé. C’est le Maire qui leur ouvre et il leur annonce directement qu’il attend les Allemands. Mais quand il découvre qu’ils sont framcais il devient un peu gêné. Ila du se résoudre a accepter les allemands et à prévoir des aides pour eux, car les francais ne sont jamais venus au secours de la ville. Il leur dit implicitement de s’en aller pour ne pas avoir d’histoires avec les Allemands.  Robinson lui dit que c’est dommage qu’il ne soit pas allemands car il aurait pu le faire prisonnier  et qu’ils ont de la peine a se debarrasser d’eux meme en temps de guerre. Ils marchent le long d’un quai, voient un soldats allemands, et Bardamu le compare a Robinson.  Puis ils se séparent et se souhaitent mutuellement bonne chance.

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