Un conte de Charles Perrault « Les Fées »

Objet d’étude n°1 : Genres et formes de l’argumentation aux XVIIe et XVIIIe siècle

Séance 1: Un conte de Charles Perrault « Les Fées »

Comment le merveilleux conduit- il a réfléchir sur l’Homme ?

Au 17e siècle les contes étaient en vogue dans les salons. Perrault essaie de renouveler ce genre en 1997 avec les contes de ma Mère L’oye. Et veux montrer que la tradition orale populaire peut rivaliser avec l’héritage du grecque et du latin.

Malgré la simplicité des histoires et leur univers merveilleux ces récits ont une visée morale et didactique. Cette visée a souvent assurer l’immortalité des contes (permettent de plaire et de les enseigner depuis l’enfance)

« Les Fées » raconte la destiné de 2 sœurs que tout oppose

Nous nous demanderons ainsi comment la construction du conte permet de mettre n valeur la porté didactique.

I. Un conte très structuré

1. Le genre du conte de fées

Le conte commence par la formule liminaire « il était une fois » -> place le lecteur dans un univers lointain indéterminé.

Indices spatio-temporel : fontaine, forêt, château…

Vocabulaire précis : fils du roi, veuve, cadette…

2. Une structure claire et précise

Schéma narratif

Situation initiale (l.1-9)

Elément perturbateur (l.10-17)

Péripétie (l.9-44)

Dénouement (44-47)

Situation finale (l.48-52)

3. Des lieus communs du conte de Fées

Les personnages n’ont pas vraiment de noms

Le voc du conte : château…

→ Stéréotypes

Les ressemblances physiques ont un rapport avec le caractère

Le récit fait appel au merveilleux

II. Une schématisation extrême des personnages

1. Une identité stéréotypée

Les deux identité sont opposés cela permet d’aider à se représenter les choses et à amener la morale. Peu à peu l’équilibre va se rétablir.

2. Une représentation dualiste du monde

Narration : Raconte l’action l’intrigue avance

Description : Plus de détails

Représentation dualiste qui fait appel à

Pas de détails superflu, ni de nuances

Vocabulaire opposé

Tout

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