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UNE VIE, MAUPASSANT

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Par   •  3 Mai 2019  •  Fiche  •  2 027 Mots (9 Pages)  •  600 Vues

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UNE VIE, MAUPASSANT

Chapitre I, Une vie

Les persos sont mise en place par : Une énumération des personnages.

Maupassant est un écrivain français du 19ème siècle, associé au réalisme et naturalisme. Influencé par les plus célèbres écrivain de l’époque comme Flaubert et Zola, il va arrêter la poésie pour se mettre à écrire écrire des romans. Une Vie, est le 2ème roman écrit par Maupassant. L’extrait se situe au tout début du roman, dans le premier chapitre, il présente le départ de Jeanne vers la campagne normande. Explication linéaire

  1. Mise en place des personnages noyés dans le paysage normand
  1. Mise en place des persos

Nous verrons d’abord que la scène met en place les personnages principaux noyé dans le paysage et nous étudierons le portrait qui est fait de Jeanne dans ce début de roman.

Deux types de personnage : Les gens du peuple -> Rosalie + cochet ; les gens de la petite noblesse : baron, baronne, Jeanne.

 

  1. Paysage complètement inondé

Eau omniprésente dans ce passage

Eau violente -> « battre »

Eau bruyante -> « gémissante »

Tout semble devenir eau :

  • Ciel ruisselant
  • Air -> « brouillard d’eau »
  • Terre -> « bourré d’eau » => Tout se liquéfie

Ligne d’horizon disparait

Le cochet qui est à l’extérieur subit les intempéries -> « tête baissé dos arrondi »

  1. Interaction entre les personnages et la nature

« morne, monotone » on ne sait pas si le paysage est monotone ou si la vison des persos le rend monotone.

Tristesse extérieure s’applique également à l’intérieur. Jeu d’écho

Abandon physique de la baronne qu’on retrouve dans le sol pleureur.

Persos dépourvus d’humanité alors que nature est humanisé.

  1. Le portrait de Jeanne
  1. Une nouvelle vie

5 années d’emprisonnement -> retrouve sa liberté

++ joyeusité, hardeur puérile

Elle est « emportée »

Elle peut voir des choses que les autres ne voient pas : « la croupe luisante »

M. le montre par la comparaison à une plante remise dans la nature

Une nature avec laquelle elle entretient des liens très étroit

  1. L’eau, une renaissance pour Jeanne

Si pour les autres persos, la pluie est signe de tristesse, pour J. c’est tout l’inverse

Signe de la vie.

Plante : l’eau lui permet de grandir, de se développer

L’eau est purificatrice -> permet d’oublier les 5 années passé au couvent

Conclusion

Naturalisme de Maupassant : véritable tableau peint par l’auteur

Texte permet de voir :

  • Jeanne directement dissocié des autres personnages
  • Importance de la nature dans le roman et de l’eau
  • Etrange silence entre les persos de la famille, parents sont comme étrangers

Fiche Chapitre III

Introduction

Reprendre la 1ère

 L’extrait ce situe au 3ème chapitre du roman, jusqu’ici M. suggère une vision de la vie assez positive avant le terrible pessimisme de la suite du roman. J. vient de rencontrer, Julien, le vicomte de Lamare. Ils prennent avec le père de Jeanne un voyage en barque à etretat.

  1. La mise en place du coucher de soleil, un spectacle magique

  1. Instauration du silence et l’immobilité

Personnage -> silence => Spectateur

Rythme lent -> attente de l’évènement

Champ lexical du silence

La nature même se tait -> « faire le silence »

Théatralité -> nature devient le théâtre

Immobilité -> « s’aplanir », « tomber », « engourdir », « immobile »

Passé simple -> imaparfait + verbes d’états + accalmie qualifier d’illimité = Hors temps

  1. Caractère picturale de la scène

Cette scène peut nous faire penser à un tableau impressioniste :

  • Couleur vives : or et rouge (« soleil saigne » ; « trainé lumineuse »)
  • Composition de la toile : lignes, formes et perspectives. => Tas de ligne suggérer par les verbes : « courir », « traverse », « route » + ligne horizontales -> « limite de l’océan »
  • Moment irréel les spectateurs ne voient pas ce qui se passent réellement -> pt de vue perso pas = pt de vue omniscient. Comme pour l’impressionnisme tableau suggère des émotions sur le lecteur. Irréalité -> nature personnifié

  1. Etrange sensualité de la scène

Rencontre du soleil et de la mer -> moment d’érotisme

Scène allégorique Soleil = Amant ; Mer = Fiancée

Scène d’accouplement étonnante

La mer prémédite l’acte -> « attendre »

Elle attire dangereusement le soleil plein d’ardeur

Séduction : champ de sirène -> consonne nasalisée

 Accouplement -> mort de l’amant

En se précipitant, la mer l’a dévoré

Chiasme : « il la »/ « elle le » => en voulant la faire sienne, il s’est fait dévorer par la mère créature monstrueuse.

  1. L’instauration d’une nuit hypnotisant
  1. L’instauration de la nuit

Rythme rapide insinue également la rapidité de l’installation de la nuit

« Déploya » insinue la rapidité du mouvement

Retour à la normale = C.C + phrase brève

Prendre les rames -> on sort de cette immobilité

Nuit-> on s’attend à plonger dans l’obscurité : Ce n’est pas le cas = Etrange claireté

Etrange jeu de lumières -> mer « phosphorescente »

  1. Perte de conscience de Jeanne

C’est cette lumière qui vont faire J. perdre le contrôle

« regarder ces lueurs mouvantes = » hypnotise J.

 Conscience= regarder         Inconscience= « ne plus songer »

Contempler= plonger dans un rêve mystique

Jeanne est investit par cette douceur nocturne, elle est comme possédé

C’est comme si elle revivait la scène du soleil et de la mer

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