Tristesse d’une étoile
Commentaire de texte : Tristesse d’une étoile. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mb988 • 19 Septembre 2019 • Commentaire de texte • 765 Mots (4 Pages) • 2 768 Vues
Une belle Minerve est l’enfant de ma tête
Une étoile de sang me couronne à jamais
La raison est au fond et le ciel est au faîte
Du chef où dès longtemps Déesse tu t’armais
C’est pourquoi de mes maux ce n’était pas le pire
Ce trou presque mortel et qui s’est étoilé
Mais le secret malheur qui nourrit mon délire
Est bien plus grand qu’aucune âme ait jamais celé
Et je porte avec moi cette ardente souffrance
Comme le ver luisant tient son corps enflammé
Comme au coeur du soldat il palpite la France
Et comme au coeur du lys le pollen parfumé
Comment malgré la sublimation des affres de la guerre en source de poésie Apollinaire demeure un poète marqué et incompris?
I, un être souffrant
A) souffrance physique
Forte présence de la 1ère personne pronom tonique et atone , déterminant possessif (ma, mes, mon)
Champ lexical : sang, maux, trou presque mortel, délire, souffrance
Amplification avec le superlatif le pire et le comparatif plus grand que, et le déterminant indéfini négatif aucune.
Minerve : polysémie avec l’appareil orthopédique
B) souffrance morale
La souffrance est dans la tête : la raison est au fond , elle reste secrète cachée dans l’ame
II. La blessure crée l’ouverture
A) sur le monde spirituel
B) sur une nouvelle langue
III. Un poète marqué et incompris
A) marqué par l’ordre et la rigueur du monde militaire
B) Une inspiration intransmissible d’un esprit éclairé Une belle Minerve est l’enfant de ma tête
Une étoile de sang me couronne à jamais
La raison est au fond et le ciel est au faîte
Du chef où dès longtemps Déesse tu t’armais
C’est pourquoi de mes maux ce n’était pas le pire
Ce trou presque mortel et qui s’est étoilé
Mais le secret malheur qui nourrit mon délire
Est bien plus grand qu’aucune âme ait jamais celé
Et je porte avec moi cette ardente souffrance
Comme le ver luisant tient son corps enflammé
Comme au coeur du soldat il palpite la France
Et comme au coeur du lys le pollen parfumé
Comment malgré la sublimation des affres de la guerre en source de poésie Apollinaire demeure un poète marqué et incompris?
I,
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