Synthèse sur l'extraordinaire

L'extraordinaire est de plus en plus présent dans notre société, quel que soit ses formes. Il peut nous étonner, nous surprendre, nous traumatiser. Notre société est un ensemble d'êtres vivants qui vivent en groupe organisé dans lequel l'extraordinaire tient une place, un rôle et une fonction. L'homme ressent les émotions dues à l'extraordinaire à travers différents domaines de la société.

Le dossier soumis à notre étude traite les événements extraordinaires dans notre société.

Nous avons un article sur les faits divers d’Annick Dubied et Marc Lits de 1999, Thierry Paquot nous explique le quotidien urbain dans un essai en 2001. Dans son autoportrait Haruki Murakami nous exprime son dépassement de soi en 2007, ensuite la couverture du petit journal nous montre un fait divers : un homme tirant sur une fillette.

Nous pouvons nous demander quel rôle joue l’extraordinaire dans notre société ?

Dans un premier temps, nous allons voir ensemble les évènements personnels puis dans un second temps les évènements publiques.

        Notre quotidien foisonne de moments particuliers, souvent subtils, parfois intenses, que nous n’arrivons pas à expliquer et que faute de mieux, nous qualifions d’extraordinaires. Dans le document 3, Haruki Murakami, nous exprime dans son autoportrait dans sa course de fond le dépassement de soi, cette limite personnelle c’est pour lui quelque chose d’extraordinaire car il n’a jamais vécu cela. Ces expériences nous placent dans une zone frontière de l’esprit humain, un espace où il est aisé de perdre ses repères. Dans le document 1, Annick Dubied et Marc Liets nous expliquent que les faits personnels intéressent le public cela s’appelle des faits divers, nous sommes des monstres humains car nous aimons les faits divers qu’ils soient tristes ou heureux, nous en vivons tous les jours. Toutes ces choses de dépassement de soi peut faire appel à l’aliénation. Dans le document 4, la une du petit journal nous montre un autre fait divers, un homme fou tirant sur une fillette, cela peut être un dépassement de soi il perd le contrôle de lui-même. Tous ces événements de fait divers font une sphère publique.

Notre société se plaît dans la production de l’événement, en fait même une pratique si courante qu’elle frise la banalité. Dans le document 2, Thierry Paquot dans son essaie en 2001, nous raconte les fêtes sociales devenu banal, ordinaire, une marchandisation de l’évènement, comme la couverture du petit journal par exemple, mettre un fait divers extraordinaire pour attirer les personnes et les faires acheter, dire des événements extraordinaire durant les émissions de radios ou les émissions de télévision pour que cela attire de l’audience c’est ce qui est expliquer dans le document 1 d’Annick Dubied et Marc Liets, les Hommes sont friands de l’évènement extraordinaire.  

Pour conclure, l'extraordinaire révolutionnaire des évènements attire notre société. L'homme a besoin de ces événements, pour se diversifier même s’ils sont devenus banal.  Certains événements personnels servent à dépasser ses limites.

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