Synthèse de documents sur le thème de la drogue
Dissertation : Synthèse de documents sur le thème de la drogue. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cookiwi • 4 Octobre 2017 • Dissertation • 577 Mots (3 Pages) • 3 649 Vues
Synthèse de documents
Le thème de la problématique est la drogue.
La toxicomanie existe et cela est un fléau inquiétant, tel est le constat.
Le document 1 date de 1851, c’est un article de presse écrit par Charles Baudelaire, il s’intitule « Du vin et du hachisch » issu Le Messager de l’assemblée. Le document 2 est aussi un article de presse paru dans L’évènement du jeudi le 7-13 septembre 1989, écrit par Bernard Poulet : « Prohibition, le droit à l’envers ? ». Et le 3ème document est un article issu de Les Clés de l’actualité écrit par Jean-François Collinot en Juin 1993. Ces documents vont nous permettre de dégager les raisons pour lesquelles la toxicomanie est difficile à lutter. Dans un premier temps nous verrons le problème social que peut engendrer la drogue, en deuxième temps la maladie et pour finir la difficulté de définir ce qu’est la drogue.
Selon Baudelaire la drogue est négative, elle conduit à la décadence, à la corruption et elle nuit les facultés mentales. Mais malheureusement la drogue finit par isoler. L’homme à pour nature besoin d’illusoire et s’élever vers l’infini.
Le seul point commun entre la drogue et le vin, c’est que ces deux substances exaltent la personnalité. Mais pour Baudelaire le vin à une vison beaucoup plus positive, il nous dit que le vin est convivial et donne du courage, l’alcool permet d’être sociable et il nous dit aussi que le vin est utile alors que la drogue est inutile et dangereuse.
Pour le document 2 écrit pas Bernard Poulet, Francis Caballero dénonce le désastre de la prohibition, car la drogue augmente la criminalité et à la délinquance. Caballero souhaiterait une législation de la drogue qui s’alignerait sur le statut du tabac ou même de l’alcool, il nous dit « la drogue n’existe pas : il n’y a pas grand-chose de commun entre la marijuana et l’héroïne ». Donc cet avocat nous fait comprendre que c’est bien du droit mais à l’envers du droit en autorisant la vente de drogues. Pour Caballero l’argument majeur ; c’est d’autoriser une drogue mais c’est aussi refuser d’écouter l’appel au secours des toxicomanes.
En effet. Il y en a qui font la différence entre les drogues « dures » et les drogues « douces ». Selon Jean François Collinot certains pays considèrent les toxicomanes comme des malades qui ont droit à des soins et d’autres comme délinquants, ou même des criminels qu’il faut punir.
Pour Baudelaire, tous les hommes seraient toxicomanes « goût frénétique de l’homme pour toutes les substances, saines ou dangereuses, qui exaltent sa personnalité, témoignent de sa grandeur ».
Cependant, il est bien difficile de définir ce qu’est un toxicomane mais aussi ce qu’est une drogue.
Sur le plan médical, il faudrait aider les pays du tiers-monde à lutter contre la drogue et faire des préventions au niveau scolaire, médical et juridique. Baudelaire, nous dit que le vin n’est pas une substance qui cause des dommages physiques et le haschisch lui cause la déchéance de l’homme et même sa mort. Par exemple à Amsterdam les toxicomanes sont passés de 8000 à 6000 en 10 ans, en autorisant la vente de drogue dans les coffee-shop mais en revanche en Espagne en acceptant la même politique son nombre de toxicomanes à était multiplié par sept pendant la même période.
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