Sujet d'invention L'étranger
Commentaire de texte : Sujet d'invention L'étranger. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Maddie Lawes • 5 Juin 2016 • Commentaire de texte • 660 Mots (3 Pages) • 1 200 Vues
Julien Lemarq, journaliste très connu pour ses écrits .., écrit pour le journal <<Alger républicain>> depuis bientôt 3 ans. Celui-ci, depuis près de un ans suit l’affaire qui a amené une vrai polémique au coeur de la ville d’Alger et publie le lendemain de la résolution du procès de l’accusé une article dans ce journal très réputé dans la ville traitant ce procès très attendu.
Pendant plus de onze mois, notre ville a été spectateur de ce procès qui a marqué l’esprit à de nombreuses personnes. Meursault, homme simple, neutre, d’après ses proches, a en effet tué un arabe. Cela a eu lieu il y a environ onze moi. Suite a la mort de sa mère, Mersault rencontre dans les escaliers de son immeuble son ami et voisin, Raymon, ancien boxeur, qui lui raconte sa bagarre avec le frère de sa maîtresse, et lui demande d'écrire une lettre qui servira sa vengeance. Par la suite, Meursault a été invité par Raymond, passer un dimanche au bord de la mer avec des amis mais aussi mon amant Marie. Une fois arrivé, lors d’une promenade au bord de la mer , les trois hommes rencontrent deux Arabes dont dont le frère de la maîtresse de Raymond. Raymond frappe ‘son type’ mais l’un des arabes tenait un couteau et il fut blessé sans gravité. De retour au cabanon, Meursault le tempère et lui prend son revolver, pour lui éviter de tuer. C’est lorsque Mersault retourne sur la plage et il se dirige vers un coin ombragé mais il se trouve par hasard, l’arabe qui sort son couteau. Mersault tue l’arabe.
Le procès a duré deux jours. La salle était rempli avec des gens entassés sur les bancs en bois dur, impatient pour que l’événement débute. Le soleil infiltrait dans la pièce et a donné une aire lourde, épaisse. L’ambiance contrairement était froid et hostile. A huit heure pile, pas une minute d’avance ni une minute de retard, Mersault fut amené dans la ville avec deux hommes robustes a ses côtés.
Il n’avait pas l’air anxieux ni l’air heureux. Il a regardé autour de la pièce et il semblait étonné de voir autant de personnes. Lorsque il a vu les jurys, il est resté immobile quelques instants, comme si il réalisait qui ils étaient et que c’était eux qui allaient décider sur son avenir.
Un fois sorti de son extase, il a murmuré quelque chose au gendarme qui a s’est ensuite tourné dans la direction de la table des journalistes. Le gendarme, homme robuste qui n’avait pourtant pas l’air méchant s’est avancé puis a commencé a parler avec un monsieur qui se trouvait assis sur la table. Le journaliste, quand à lui, a serré la main avec le gendarme puis il a sourit d’une manière chaleureux a Meursault qui semblait agité. Lorsque le journaliste lui parlait, il regardait autour, sans vraiment avoir l’air intéressé.
Quelques instants après, son avocat, un homme rond de grande taille habillé en toge d’avocat est arrivé, a serré la main des journalistes puis leur a adressé quelques plaisent mots avant de se tourner vers le coupable. A voix basse, il a adressé quelques paroles à Meursault mais il avait toujours l’air préoccupé, il observait avec fixation le procureur ainsi que les juges prendre leur place sur la tribune qui dominait la pièce. Une fois assis, le juge vêtu en robe rouge a déclaré que l’audience était ouverte et Mersault, suivi par
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