Slaam guerre
Lettre type : Slaam guerre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar weamk • 23 Novembre 2022 • Lettre type • 863 Mots (4 Pages) • 265 Vues
La guerre, une phrase, et une famille perdue !
- Une belle matinée, ensoleillée et gorgée d’opportunité s’offrait à nous
Cette guerre, cette satanée guerre a détruit nos vies instantanément et à jamais
En un claquement de doigt BOUM nos rêves se sont envolés dans la vallée lointaine
Ceci est mon histoire…
- Je me réveille avec une boule au ventre, je voulais en parler à personne.
Ne pas inquiéter ma femme et mon petit garçon étais ma priorité,
Ils seraient tellement dévastés par mon départ.
Des dizaines d'affiches gronder les rues :
« Ordre de mobilisation Mondiale »
La peur m’envahit, qui l’aurait cru ?
Mais je ne laisse rien paraître, même si ça a brisé la totalité de mon être.
Je descends rejoindre ma petite famille comme si de rien étais.
Je profite de tous ces instants, pour les garder à jamais dans mes penser.
Hier j’ai offert à mon fils un petit train en bois,
Comme souvenir de son père, partie à la guerre.
Et ma somptueuse femme que je devrais malheureusement quitter.
Son sourire illuminant ma penser,
Et son visage débordant de beauté.
Il est l’heure pour moi d’y aller, aller rejoindre le front.
Jeanne était en sanglots, mon fils ne voulait pas me lâcher
Ce jour-là, était la pire chose qui puisse arriver.
Je me retiens en vain pour ne rien laisser paraître.
Mais mes sentiments ont pris le dessus, quel traitre !
J’offre un présent pour ma bien-aimée.
Je serre mon fils tellement fort, comme si c’était le dernier.
Je passe le pas de la porte.
Et je leur souffle quelques mots avant de m’en aller,
À tous jamais.
- Une belle matinée, ensoleillée et gorgée d’opportunité s’offrait à nous
Cette guerre, cette satanée guerre a détruit nos vies instantanément et à jamais
En un claquement de doigt BOUM nos rêves se sont envolés dans la vallée lointaine
Ceci est mon histoire…
-Comme tous les matins, je me suis réveillé en première.
J’étais déterminé comme une guerrière.
J’ai donc décidé de leur concocter leur petit déjeuner préféré.
Juste après moi, mon petit enfant c’est réveiller.
Il était très impatient de s’amuser avec son nouveau jouet.
Qu’il va surnommer plus tard, SamSam à l’effigie de son père.
Ensuite Samuel est venu nous rejoindre pas à pas.
Mais je sentais que quelque chose n’allait pas.
J’avais l’impression qu’il essayait de me cacher quelque chose.
Mais j’ai fait comme si de rien étais.
Il me regardait d’un air nostalgique et à ce moment j’aurai dû tilter.
Mais je lui réponds par un sourire.
Et quand tout à coup quelqu'un frappe à la porte.
Ça m'a paru bizarre qu’on vienne toquer à cette heure-là.
J’ai donc ouvert la porte, sans m’attendre une seconde à ce qui allait se passer.
Face à moi 2 grands soldats, effrayant et bien vêtu,
Je leur demande alors : « quel est le motif de votre venue ».
Ils me répliquent sans aucune émotion :
« Où est votre mari ? il est l’heur de partir au front
C’est la mobilisation générale».
Et là j’ai compris qu’ils allaient emmener mon mari en ce jour matinal,
Mon mari que je ne reverrai peut-être plus jamais.
Mon expression faciale avait changé instantanément.
Mes larmes ne cessèrent de couler, tel un enfant.
Mon fils ne comprenait pas leurs paroles.
Dès lors qu’il a vu des larmes tomber au sol.
Il a compris que son père aller s’en aller, et tout d’un coup il lâche sa babiole.
...