Servitude volontaire

Discours de la servitude

         Le Discours de la servitude volontaire à été écrit par Étienne de la Boétie lorsqu’il n’avait que 18 ans. Cet ouvrage parle de ce qui pousse une personne à se soumettre à une autre.         

        Dans cet extrait, La Boétie va nous faire comprendre que cette servitude n’est pas forcément forcée, elle peut aussi être sous forme de passivité.

        Nous allons donc nous demander en quoi le raisonnement de l’auteur permet de rappeler les droits fondamentaux des êtres humains.

         Dans un premier temps, nous verrons l’égalité entre les hommes, dans un second temps un éclaircissement des différences puis enfin nous verrons que la liberté pour tous vient de l’égalité.

1) L’égalité entre Homme

 -L1 et L2 cl de la vue « clair, apparent, aveugle », l’auteur attend que l’homme prenne conscience de cette égalité de tous

-L2 et L3 répétition du nom « nature », il insiste sur le mot nature pour mettre en avant le sujet du texte

-L5 comparaisons « afin que nous nous reconnaissions tous comme compagnons ou plutôt comme frère » mettent les hommes sur un pied d’égalité à travers des noms représentants l’unité

-L10 négation « n’a pas » montre que l’auteur réfute l’idée selon laquelle la nature voudraient que certains hommes soient supérieures aux autres.

2) Un éclaircissement des différences

-L12 locution adverbiale « au contraire » il va faire une opposition, son raisonnement est bien organisé pour que le lecteur puisse facilement suivre son explication

-parallélismes « aux uns plus grandes, aux autres plus petites » L13 14 et « les uns ayant la possibilité de donner de l’aide, les autres ayant besoin d’en recevoir » L15 et 16 montre une cause et une conséquence. La solidarité est un principe important : le but des différences entre les Hommes.

3) La liberté vient de l’égalité pour tous

-personnification de la nature « bonne mère » L17 montre qu’il donne un rôle important à la nature, celui d’une mère

-répétition de « même » L18 19 approuve l’idée d’égalité

-verbes « mirer » et « reconnaître » L20 revient avec l’idée précédente, une égalité pour tous

-adverbe+ adjectif « naturellement libre » L28 il nous rappelle le hème de l’extrait : l’homme est libre car la nature en à décider ainsi.

        La Boétie nous fait rappeler les principaux droits fondamentaux qui sont ici l’égalité, la fraternité et la solidarité tout en développant leur importance.

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