Saint-Denys Garneau et Émile Nelligan 1 partie

IP1 : La fatalité est symbolisée par la mort.

IS1 : La mort est figurée par un oiseau dans les deux poèmes.

IS2 : La fin finit de la même façon dans les deux poèmes.

IP2 : La fatalité est représentée différemment par la mort.

IS1 : L’origine de la mort est différente dans les deux poèmes.

IS2 : L’attitude envers la mort est différente dans les deux poèmes.

IP3 : Selon moi, il est plus vrai de dire que les deux poèmes ont une même vision de la fatalité.

IS1 : Les deux poèmes utilisent le même champ lexical.

Pour finir, malgré que les poètes donnent parfois des versions différentes sur la fatalité, il reste néanmoins que la fatalité est symbolisée par la mort. En effet, leurs perceptions de la fatalité sont la même, car ils utilisent le même champ lexical. D’un côté, Garneau utilise un champ lexical de la mort pour évoquer la fatalité : « sang » (V 22), « vie » (V 23) et « âme » (V 24). On peut remarquer qu’il y a une sorte de dégradation pour démontrer la fin d’une vie. De l’autre côté, Nelligan utilise le même champ lexical : « funèbres » (V 2), « tombeaux » (V 5), « carcasses » (V 6), « ténèbres » (V 7), « démons » (V 9) et « charogne » (V 13). Nelligan utilise des mots beaucoup plus sombres que Garneau, mais reste néanmoins que leurs opinions restent similaires concernant de ce qui est inévitable. Bref, malgré que leurs opinions soient parfois distinctes sur la fatalité, il reste néanmoins que je suis convaincu qu’ils ont une même vision de la fatalité puisque le champ lexical de la mort est présent dans les deux poèmes.

...