Résumé la nuit Mozambique et sang négrier

Le nouveau capitaine, dont on ne connait pas le nom, décide de ramener le corps de l’ancien capitaine, à sa famille, à Saint Malo. Une fois arrivés là-bas, le capitaine propose à ses matelots de faire une escale de quelques jours. Malheureusement, quatre esclaves s’échappent et, pour son honneur, il est fondamental de les retrouver. Il en retrouve assez facilement trois, puis il les tue. Le problème est que le quatrième reste introuvable. Au fur et à mesure des jours, cet esclave éparpille un peu partout ses doigts coupés qu’il place sur les poignées de porte. A chaque doigt trouvé, un malheur arrive à la personne qui avait un doigt sur sa porte d’entrée. Au bout du septième doigt, le capitaine, apeuré, décide de s’en aller avec le reste des esclaves. Trois mois après, à son retour, il apprend que les dix doigts ont été retrouvés. Malheureusement il en trouve un sur sa porte d’entrée a lui et devient fou, persuadé que la ville a subi un maléfice.

L’Amiral Medeiros retourne voir son vieil ami Fernando dans son restaurant. Au début ils se rappellent les vieilles histoires qu’ils se racontaient avec leurs deux autres compagnons : le contre-amiral Da Costa et Manuel Paseo. Ils se retrouvaient tous les ans dans le restaurant de Fernando qui leur servait ses plus beaux poissons. Lors de leur dernier rendez-vous, le 3 juin 1879, Paseo leur raconte une histoire assez effroyable, celle de son dernier voyage au Mozambique. Il emportait clandestinement des passagers pour leur permettre de quitter la misère et de recommencer une nouvelle vie dans la grande ville de Maputo. Lors de ce dernier voyage, de nombreux cris furent poussés et quand Paseo remonta sur le ponton il trouva une femme morte. Les gens lui dirent qu’il s’agissait d’une fille du Tigirka. Il annonça la nouvelle au frère de la défunte et celui-ci n’eut aucune réaction. Paseo dit à ses trois compagnons avec qui il était au restaurant qu’il raconterai la fin de son histoire la prochaine fois. Or quand l’Amiral retourna voir Fernando, Paseo n’était jamais revenu et n’a jamais raconté la fin de son histoire, Da Costa, lui, était mort d’une maladie qui le hantait déjà depuis longtemps. Et les deux derniers ami se demandaient ce qu’ils tireraient et de ce qu’ils se souviendraient de tous ces repas passés à discuter et se raconter leur belles histoires.

...