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Question sur corpus

Commentaire de texte : Question sur corpus. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  16 Octobre 2017  •  Commentaire de texte  •  1 062 Mots (5 Pages)  •  719 Vues

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        Le corpus que nous allons étudier est composé dee trois textes intitulés Un coeur simple, Au bonheur des dames et Bel-Ami. C'est textes sont respectivement écrit par Gustave Flaubert, Emile Zola ainsi que Guy de Maupassant en 1877, 1883 et 1885.                                              Nous étudierons sous quelles forment, dans ces extraits, se manifestent la représentation du réel dans ce corpus.                                                                                        D'abord, nous parlerons des lieux du réel, ensuite de l'aspect physique et mental des personnages, pour enfin faire une conclusion de ce corpus.

        Premièrement, nous allons nous appuyer sur le texte de Flaubert parlant d'une jeune femme nommé Félicité, la servante de Mme.Aubain, une bourgeoise. Nous pouvons très rapidement constater que ce texte repose sur l'espace domestique grâce aux nombreuses tâches ménagères, pratiquées par Félicité chez Mme.Aubain, dont "la cuisine et le ménage" (l.2), le soin de l'habit : "cousait, lavait, repassait" (l.3) et d'autres encore.                                                        Deuxièmement, nous allons nous reposer sur le texte de Zola, qui, contrairement à celui de Flaubert, va nous pencher sur un espace de travail. En effet, on constate qu'il s'agit d'un magasin comme lieu de travail grâce à la première phrase de cet extrait : "D'abord, elle eut à surmonter les terribles fatigues du rayon" (l.1). Porter "des paquets de vêtements" (l.1/2) est ici le travail de cette pauvre femme, non nommée.                                                                                Troisièmement, nous allons nous accentuer sur le texte de Maupassant qui aborde ici l'espace de rencontre entre une paysanne, Mme.Duroy, ainsi qu'une "femme de ville" (l.5). Les deux femmes se rencontrent ici lors d'un "déjeuner de payans" (l.1).

        Désormais, nous allons nous intéresser aux appétits du corps. Nous remarquons ici qu'il n'y en a pas beaucoup. En effet, il n'y en a qu'un seul, se trouvent dans te texte de Flaubert, qui est "elle mangeait" (l.9).                                                                                                 En revanche, les dégradations du corps sont plus nombreuses.                                        Commençons par le texte de Flaubert. On perçoit que Félicité ne fait plus son âge : "elle ne marqua plus aucun âge" (l.15), elle contient peu de conditions physique : "son visage est maigre et sa voix aigüe" (l.14), et semble être une femme comme robotisée : "semblait une femme en bois, fonctionnant d'une manière automatique" (l.16/17).                                                        Poursuivons par le texte de Zola où cette pauvre femme travaille dans des conditions atroce. Cette femme est maltraité au point que "les paquets de vêtements lui cassaient les bras" (l.1/2). Ainsi celle-ci souffrait de jour comme de nuit : "elle criait la nuit en se retournant, courbaturée, les épaules meurtries" (l.3).                                                                                Finissons par le texte de Maupassant nous montrant cette paysane, la mère Duroy, "toujours triste et sévère" (l.3). Mme.Duroy fait ressentir la haine qu'elle éprouve envers sa"bru" : "une haine de vieille travailleuse" (l.4). Desurcroit, comme dans le texte de Zola, les conditions physiques de cette femme sont déplorables : "vieille rustique aux doigts usés, aux membres déformés" (l.4).

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