Promo Levi, Si c'est un homme (1947)
Commentaire de texte : Promo Levi, Si c'est un homme (1947). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Pierre Loiseau • 15 Juin 2019 • Commentaire de texte • 889 Mots (4 Pages) • 482 Vues
Promo Levi, Si c'est un homme (1947)
Introduction :
Primo Levi se destinait à une carrière de chimiste avant son arrestation par les Nazis fin 1943, il fut déporté en 1944 à cause de sa confession religieuse. Il veut alors écrire son experience de combattant dans son rman « Si c'est un homme » tel le roman qui raconte aussi son expérience dans les camps Auschwitz. A la suite de ce traumatisme il a crit et a repris son activité de chimiste. Alors qu'il écrivait à l'encontre des idées de suicide, alors qu'il avait perdu et était sous anti-depresseur, il es tretrouvé mort en bas de ses escaliers. Cette hypothèse est aujourd'huit démentie.
I une témoin narrateur
A Une scène précise décrite en temps réel
Il y a une description précise du lieu qui témoigne de la véracité. La scène est alors décrite à travers les yeux du narrateur en temps réel. 0 travers l'ouie et sa vue pour permettre de revivre mla scène. De plus il y a de nombreux connecteurs logiques qui témoignent de la brutalité ; « « et brusquement »l.1 « en un instant » l.7, « à un moment donnée »l.11.
B Un témoignage neutre, qui se veut objectif
Le narrateur monstre un désir de rester neutre dans son témoignage, il écarte en effet toute forme de pathos ( qui emeut). En effet son récit se veut objectif puisqu'il n'utilise pas la première personne du singulier « je » mais « nous », il veut faire un constat général. De plus à la ligne 24, quand le couple se sépare il n'y a pas de focalisation interne aux personnages et le récit est assez rapide. Il témoigne cependant de l'inquiétude des déportés à la ligne 7, 8 et 9. Son objectivité est montrée par l'humanisation des SS à la ligne 17 « de simples » , en les montrant comme des agents de police. Cela renvoi au titre qui pose la question de l'humanité de ces hommes.
C Une critique sous-jacente
Cependant, le narrateur semble éprouver un haine infinie envers les Allemands comme nous le montre les lignes 2 et 3 « et de ces aboiements barbares naturels aux Allemands quand ils commandent »le présent de vérité génral insiste sur le fait que les Allemands n'ont jamais cesser de faire cela. « hargne séculaire » l.4 On remarque une animalisation des Nazis avec un champ lexical de la violence.
II Une scène cruelle jouée par des acteurs opposés
A Une description théatralisée, mise en scène
l.1 « la portière s'ouvrit avec fracas » peut montrer une forme de théatrilité tel un rideau de théâtre qui se lève au début d'une pièce. De plus « les larges quais » de la ligne 4 peuvent renvoyés à une scène et ainsi que les projecteurs « écaliré par des projecteurs » l.4-5. On peut aussi remzrquer une certaine idée de tragédie se dégageant de cette extrait puisque la mort de juifs est annoncée dès le début « ce fut le dénouement », ce qui est assez paradoxale puisque c'est le début du roman.
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