Plan détaillé colonie pénitentiaire

JUHEL Sylvain                                                                                première S1

Introduction :

Dans cette nouvelle de Franz KAFKA, une machine de torture inscrit dans la chair même des condamnés le motif de leur condamnation. La torture infligée semble poursuivre un but absurde et d’autant plus cruel (le condamné supplicié ne peut que sentir l’aiguille qui parcours son dos sans déchiffrer les signes qu’elle trace). Mais il a fauté par le corps et c’est le corps qui serait ainsi éduqué, tout en mourant. La société est désignée dans sa forme la plus contraignante, coercitive et il est question dans ce récit de la moralité d’un tel châtiment. Mais au delà de la cruauté, la machine de KAFKA introduit le langage dans la torture, un langage qui s’adresse directement au corps. Le corps est littéralement « ouvert » par l’inscription de la faute qu’il a commise. Dans quelle mesure Kafka oppose-t-il l’humanité décadente et la figure du tyran. Dans un premier temps nous étudierons l’humanité décadente puis la figure du tyran.

Plan détaillé de la colonie pénitentiaire :

1. Humanité décadente

1. un univers carcéral

Champ lexical de la prison

1. une justice injuste

Ce -> démonstratif, réduit le condamné à sa peine

Champ lexical de la justice

Les autres -> antéposition ->met a distance

1. la souffrance physique et morale

Sifflante [s] souffrance

On grave-> groupe omnipotent et torture physique

Champ lexical du corps

2) La figure du tyran

1. Obsession de la machine

Explication de la machine -> déshumanisation

1. L’omnipotence de l’officier

Supériorité de l’officier -> incline sa tête

Le schéma du bourreau

Malgré ma jeunesse -> égaux surdimensionné

1.  Manipulation du tyran

Emphase -> c’est moi qui ai raison

On fait parler les regards et les visages -> manipulation

Négation -> manipulation extrême

Conclusion :

Dans ce texte nous observons que l’officier est le bourreau du détenu et que c’est un monde parallèle a notre société car les sanctions sont démesurées dans cette colonie pénitentiaire et que cela parait anormal aux yeux du voyageur qui n’a pas l’habitude de voir ce style de sanctions.    

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